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Will et Grace vivent en colocation dans la grande ville de New York. Lui, est un avocat gay à la maniaquerie démesurée. Elle, est une décoratrice d’intérieur hétéro exubérante. A ce couple inséparable, s’ajoutent leurs meilleurs amis. Karen, l’assistante de Grace, richissime, alcoolique, surmédicamentée et aux mœurs étranges. Et Jack, un gay extraverti, squatteur et comédien raté.
Informations sur
- Nom original de la série Will & Grace
- Créateur Max Mutchnick David Kohan
- Dates 1998-2006 2017-2020
- Genre Comédie
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale NBC
- Chaîne(s) de diffusion française Canal +, France 4, TF1, Jimmy
- Nombre de saison(s) 11
- Nombre d'épisodes 246
- Durée 22 minutes
-
Critique
L'homosexualité dans l'Histoire
Jusqu’à une certaine époque, le thème de l’homosexualité était peu, voire quasi inexistant dans le monde des séries télévisées et plus largement des médias télévisuels. Il n’était peut-être pas inexistant, car il était sous-jacent, mais très rarement mis en avant et montré tel quel.
Pourtant, si on remonte l’histoire et qu’on s’attache à regarder de plus près notre passé artistique, qu’il soit littéraire, sculptural ou bien pictural, le thème de l’homosexualité a toujours eu sa place. Dès l’antiquité, les poètes, philosophes et autres érudits s’y intéressaient. Leur avis sur la question était assez divergent. Par exemple, les deux grands philosophes qu’étaient Platon et Aristote ne percevaient pas l’homosexualité de la même manière, le premier n’hésitant pas à en faire l’éloge dans son livre Le Banquet et à raconter ouvertement et sans jugement des relations homosexuelles. Quant au second, il voyait plus cela comme un état de contre nature. Des débats vieux de plusieurs siècles et qui dans notre décennie persistent encore, dans un monde soi-disant ouvert et tolérant. De tout temps, l’homosexualité a fait débat et a créé des tensions au sein des populations.
Toutefois, le 20ème siècle et l’avènement des médias, et notamment de la télévision, a permis de lever le voile sur de fausses idées et d’ouvrir les yeux à certaines personnes. L’homosexualité s’est dans un sens démocratisée et n’apparaît plus comme un mal qui ronge certains hommes et certaines femmes... enfin il reste néanmoins quelques résistants qui mériteraient une bonne cure de clairvoyance et une bonne paire de baffes.
L'homosexualité dans les séries
Cette petite introduction, qui ne se veut en aucun cas être une étude approfondie sur la question de l’homosexualité dans notre société, nous conduit directement au cas du traitement de celle-ci dans le monde des séries télévisées. L’homosexualité a sa place dans nos séries préférées depuis plusieurs décennies.
Au départ, elle était sous-jacente dans des séries comme Les mystères de l’Ouest ou encore Starsky et Hutch. Le genre buddy show, était souvent sujet à questionnement pour les fans qui y percevaient souvent une sorte de relation cachée. Par la suite, les soap, et plus particulièrement Dynasty, ont abordé le sujet. Pourtant, le public reste frileux face à de telles mœurs. Ce n’est que bien plus tard, dans les années 90 que certaines séries vont prendre le parti d’intégrer au casting un personnage homosexuel et d’en faire un personnage aussi important que les autres. Melrose Place, Ellen... ont lancé les hostilités pour laisser place par la suite à des séries comme Buffy contre les vampires et le personnage de Willow. Queer as folk en 1999 et The L world en 2004 ont quant à elles enfoncé le clou. Dans le même temps, Six feet under nous offrait le personnage de David.
Will & Grace, homosexualité et amitié
Mais remontons un peu le temps, et arrêtons-nous en 1998, avec le lancement de la série Will & Grace sur la chaîne NBC. Nous y voilà enfin ! Voyons ce que recèle Will & Grace et ce qu’elle a apporté au monde homosexuel dans le paysage des séries télévisées.
La comédie illustre parfaitement les propos abordés ci-dessus. Elle fait partie de ces séries, et au sens plus large de ces médias, qui ont contribué à ouvrir le débat sur l’homosexualité. Elle en parle ouvertement et ne porte aucun jugement. Le tout est abordé avec subtilité et beaucoup d’humour. Certes, la communauté homosexuelle en prend pour son grade en essuyant pas mal de moqueries. Elle est assujettie à quelques gros clichés, des clins d’œil pas bien fins, mais rien qui ne saurait lui porter atteinte. Au contraire, Will & Grace est synonyme d’ouverture d’esprit que ce soit dans le choix de ses orientations sexuelles ou que ce soit dans les déviances que chacun pratique. Et des déviances, on peut dire qu’il y en a, surtout chez Karen !
Tout cela est mis en image par le biais de personnages drôles et attachants, et par une belle histoire d’amitié. Voilà le mot clé de la série, l’amitié. Karen, Jack, Will et Grace évoluent à New York et partagent, malgré les taquineries qu’ils s’assènent à longueur de journée, une amitié profonde et sincère. On prend plaisir à partager le quotidien de ces personnages hauts en couleur qui fonctionnent par paire et sont en opposition complète.
D’un côté, il y a Jack MacFarland l’excentrique et Will Truman le calme, et de l’autre côté il y a Karen Walker la nympho-addicto-alcoolo excentrique et Grace Adler la romantique.
Jack est pétillant, égocentrique, hystérique, bref constamment dans l’excès, ce qui a souvent le don de fatiguer ses amis. Il est un homme avec beaucoup de caractère. Il est persévérant et assume complètement sa sexualité. A l’opposé, il y a Will, un homosexuel qui a eu du mal à faire son coming out. Il est plus calme, mais il déborde parfois d’une énergie insoupçonnée.
Alors que Jack flâne de conquêtes en conquêtes, Will cherche le véritable amour. Amour qu’il a du mal à trouver et qu’il compense dans sa relation avec Grace. Il entretient avec son amie de longue date une relation très ambiguë, quasi fusionnelle, oscillant entre amitié et amour.
Les deux personnages forment un couple adorable que l’on imagine souvent finir ensemble, même si on sait pertinemment que leurs orientations sexuelles ne les mèneront pas vers cette voie. Alors on se résigne, on apprécie et on aime leur relation et souhaite que chacun trouve chaussure à son pied. Car tout comme Will, Grace cherche désespérément l’homme de sa vie. Elle va, elle aussi, de déception amoureuse en déception amoureuse et se réconforte dans les bras de Will lorsque ça ne va pas. Il ne faut cependant pas croire que Grace est une femme fragile. Elle a un tempérament de feu, elle aime que tout se déroule comme elle l’entend et aime se faire entendre, ce qui a tendance à créer des conflits avec son employée, amie et parfois Némésis Karen.
Cette dernière est l’opposé de Grace. Elle est une femme exubérante, pulpeuse, méchante, alcoolique, croqueuse d’hommes à la voix irritable et reconnaissable entre toutes. Un personnage haut en couleur synonyme de fou rire. Avec elle en tant qu’amie, on est sûr de se faire remarquer et de se payer une bonne tranche de rire.
Au final, Will & Grace est avant tout une histoire d’amitié que les créateurs de la série David Kohan et Max Mutchnick ont remarquablement décrite. L’homosexualité sert de prétexte ou plutôt de cadre général à l’histoire et à la concrétisation de la belle relation d’amitié qu’il y a entre Will et Grace. La comédie est une belle réussite. Et en prime, lorsque la série se lance des défis, comme les épisodes live de la saison 8, elle le fait avec une grande qualité.
Will & Grace fait dorénavant partie des comédies cultes pour moi, au même titre qu’un That 70’s show, un The office, un 3ème planète après le soleil, un Black Books ou un Malcolm. Foncez les yeux fermés sur cette série et n’ayez pas peur, huit saisons, quand la série est de qualité, ça s'engloutit tout seul !
Donna, Fez, Hyde, Kelso et Jackie sont des jeunes adolescents qui vivent à Point Place (Wisconsin) dans les années 70. Tous les cinq ont le même point commun, celui de squatter le sous-sol d’Eric. C’est dans ce sacro-saint lieu que « That ‘70s show » centre les aventures de la bande qui va connaître tout au long des saisons à la fois joies, peines, amours et déceptions, le tout sous l’œil bienveillant de Kitty et l’œil inquisiteur de Red, les parents d’Eric.
Informations sur
- Nom original de la série That '70s Show
- Créateur Terry Turner
- Dates 1998 - 2006
- Genre Comédie
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale FOX
- Chaîne(s) de diffusion française Jimmy, France 2, Comédie !
- Nombre de saison(s) 8
- Nombre d'épisodes 192
- Durée 22 minutes
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Critique
That 70's show est une comédie qui a marqué toute une génération de téléspectateurs américains qui, pour beaucoup, ont eu le plaisir de revivre avec nostalgie des moments de leur passé.
Le concept initial de la série est très simple car elle retrace l’univers des années 70 avec tout ce qui a fait de ces années-là une référence aux yeux d’un grand nombre de gens. La série se veut fidèle et tente de coller le plus précisément possible aux ambiances de ces années fastes en décorations kitsch, musiques à la fois rock et disco, coupes de cheveux loufoques, pattes d’éph et autres tenus d’un autre monde, sans oublier la fameuse "herbe" qui a animé les soirées de toute cette génération.
S’il fallait qualifier la série avec un seul mot, j’opterais pour "évasion".
That 70's show est un pur moment de bonheur où l’on s’abandonne le temps d’un épisode en voyageant dans le temps et en découvrant un monde rempli de couleurs et de personnages atemporels. Ne pensez pas que Hyde a pris possession de mon corps et que commence pour moi un tour de table... quoiqu’il est vrai que la série a ce petit côté euphorisant et ce pouvoir d’addiction que certaines substances illicites révèlent.
Certes la série est d’une grande qualité esthétique, mais la valeur intrinsèque de la série réside bel et bien dans l’humour et la personnalité excentrique de chaque protagoniste du show :
- - Eric est le fils qui déçoit continuellement son père.
- - Ce dernier passe son temps à ronchonner et traiter chaque humain de cette planète de "Dumb-ass".
- - Kitty est une alcoolique.
- - Laurie est la traînée du quartier voire du pays tout entier.
- - Jackie est la fille superficielle.
- - Kelso est l’abruti de service.
- - Hyde est le drogué.
- - Fez est un pervers affirmé
- - Donna… Donna semble en fait la seule personne saine d’esprit au sein de cette joyeuse bande, même si elle a un petit côté garçon manqué.
Des personnages hauts en couleur habitent cette série qui ne manque pas de mordant dans ses dialogues et ses réparties.
Ce magnifique tableau est quelque peu sali par l’écoulement du temps dans la série. En effet, lorsque la série débute, les faits se déroulent en 1976, et la huitième et dernière saison s’achève fin 1979. L’élément étrange est que au cours de ces 4 années, la série connaît 8 épisodes de Noël, et il y a quelques points divergents au niveau des dates d’anniversaire. Il faut tout de même savoir que ces valeurs temporelles inexactes sont délibérément établies par les scénaristes qui souhaitaient avant tout faire perdurer le show dans les années 70. Rien de vraiment très grave, toutefois au premier abord cela peut choquer et laisser le téléspectateur suspicieux devant une telle situation.
Dernier point négatif, la série a perdu lors de la dernière saison deux de ses comédiens et non des moindres : Ashton Kutcher (Kelso) et Topher Grace (Eric). Le fait que les acteurs aient quitté le show a créé un sévère manque quant à la qualité de l’humour et de l’histoire en elle-même. On sentait depuis 2 ou 3 saisons que la série s’essoufflait au fur et à mesure, même si elle tenait toujours bon, mais ce départ programmé a fini de l’achever.
Enfin, mon dernier conseil : regarder la comédie en version originale. That 70's show fait partie des séries qui a été saccagée par la traduction française. En effet, un grand nombre de jeux de mots sont difficilement traduisibles et certains personnages comme Red ou Fez, avec les expressions qui leur sont propres, méritent réellement d’être vus en VO.
Je pense avoir été assez long, donc maintenant c’est à vous de vous ruer sur cette série et d’entrer dans le cercle pour vivre les aventures d’Eric et ses amis...
"À chaque génération il y a une Elue. Seule elle devra affronter les vampires, les démons et les forces de l'ombre. Elle s'appelle Buffy".
Buffy est une jeune fille de 16 ans assez superficielle jusqu’à ce qu’un jour elle devienne l'Élue. Elle doit protéger le monde des démons… En voulant tuer des vampires elle met le feu au gymnase de son lycée de Los Angeles. A la suite de cet évènement elle se fait renvoyer. Elle et sa mère s'installent à Sunnydale. Petite ville en apparence tranquille mais qui en réalité est située sur la bouche de l'enfer ("Hellmouth"). Dans son nouveau lycée ("Sunnydale High School"), elle va rencontrer Willow et Alex, qui deviendront ses meilleurs amis, Giles, le bibliothécaire et Observateur de la Tueuse ("The watcher"), ainsi que Angel qui deviendra son plus grand amour. Tous vont braver des périls pour sauver l'humanité des pires dangers qui la menacent dans l'ombre. Au cours des sept saisons, Buffy fera la rencontre d’autres personnages tels que Spike, Tara, Riley, Oz, Cordélia, Wesley, Faith, Anya, Dawn, etc.
Informations sur
- Nom original de la série Buffy the vampire slayer
- Créateur Joss Whedon
- Dates 1997-2003
- Genre Fantastique Adolescence
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale Warner, UPN
- Chaîne(s) de diffusion française Série club, M6
- Nombre de saison(s) 7
- Nombre d'épisodes 144
- Durée 42 minutes
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Critique
Il ne faut pas voir en Buffy contre les vampires une série sans intérêt pour les prépubaires. Elle est avant tout une série sur la complexité de la vie. La mort est une analogie à toutes les épreuves nécessaires pour avancer dans la vie. Il faut donc l'affronter, quitte à la voir gagner, mais dans tous les cas, cette expérience est fondamentale à la vie de chaque Être.
De plus, cette série révèle quelques trésors avec des épisodes très marquants. Pour exemple, "Hush" ("un silence de mort" en français), dixième épisode de la quatrième saison reste une référence, avec l'arrivée de démons, les "gentlemen", qui vont plonger la ville dans un silence de mort. L'épisode est construit sans aucun dialogue, tout se passe dans le non-dit, un vrai jeu d'acteur.
Buffy contre les vampire une série fantastique qui se base sur un réalisme à la fois profond et authentique. Tous ces démons, toutes ces morts, ne sont que le reflet de la dure réalité à laquelle chaque être humain est confronté tout au long de sa vie. Il est vrai que cela reste un discours purement fataliste sur la vie, mais la vie n'est rien d'autre qu'un cours moment qui nous conduira inéluctablement vers la mort.
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Le savais-tu ?
L'arme préférée de notre Tueuse Buffy est un pieu. Jusque-là rien d'étonnant pour une tueuse de vampires.Buffy a fait l'acquisition de ce joli objet en bois au cours de la saison 2. C'est Kendra Young, devenue Tueuse suite à la mort de Buffy, qui lui donne afin de tuer Angelus. Arme que Buffy conservera précieusement.
Ce pieu est nommé Monsieur Pointu... logique pour un pieu.
- Bande originale
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Répliques cultes
Buffy Summers dans l'épisode 22 de la saison 5 intitulé "The Gift"
"The hardest thing in this world is to live in it"
C’est au cours du 18ème siècle qu’un jeune irlandais est transformé en vampire. Angelus revient d’entre les morts et devient le vampire le plus impitoyable de tous les temps. Il est cruel, barbare et par-dessus tout sans cœur. Sa vie éternelle va cependant être bouleversée le jour où il va s’attaquer à des bohémiens. Ces derniers lui jettent un sort afin de lui rendre son âme. Depuis ce jour, Angelus est devenu Angel qui n’a de cesse que de vouloir racheter ses actes en sauvant la veuve et l’orphelin. En 1996, Angel fait la connaissance de Buffy, la Tueuse de vampire, pour laquelle il s’amourache très vite. Ils vivent de nombreuses aventures, entre amour, haine, lutte contre le mal, sauvegarde du monde... jusqu’au jour où Angel décide de prendre son envol vers Los Angeles. C’est dans cette ville de lumière et d’ombre qu’avec sa petite équipe (Cordélia, Wesley, Doyle, Gunn, Winifred et Lorne), il va lutter contre le mal tout en restant dans l’ombre.
Informations sur
- Nom original de la série Angel
- Créateur Joss Whedon
- Dates 1999 - 2004
- Genre Fantastique
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale UPN, Warner
- Chaîne(s) de diffusion française Série club, TF1, TF6
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 110
- Durée 42 minutes
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Critique
Une série où le vampire est le héros ? En voilà une bien bonne idée. Joss Whedon, deux années après avoir créé Buffy contre les vampires pour le petit écran, a l’ingénieuse idée de faire un spin-off de son bébé et de donner la chance au personnage d’Angel d’évoluer dans sa propre série.
A contrario de la série Buffy contre les vampires (même si celle-ci a su s’axer sur des thèmes tels que la mort et la dépression dans les saisons 5 et 6), Angel est une série plus sombre, plus mature qui n’aborde pas, ou du moins, qui n’est pas une analogie de l’adolescence comme sa grande sœur. La série traite de sujets plus adultes, cela allant de soi étant donné que le héros a plus de 270 ans ! Pour être plus précis, Angel se penche sur un sujet comme celui de la rédemption, sujet qui est le véritable fil conducteur tout au long des 5 saisons. Angel peut-il se racheter et se faire pardonner pour toutes les atrocités qu’il a commises ?
Cette problématique récurrente se matérialise très nettement au cours de la troisième saison avec l’apparition du personnage de Holtz. Ce dernier a voyagé dans le temps dans l’unique but de retrouver Angelus et de venger la mort de ses enfants, tués par le vampire.
Tout ceci n’ancre pas pour autant la série dans une conceptualisation cloisonnée du bien et du mal. Angel n’est pas une série moralisatrice, mais plutôt une série qui présente les multiples possibilités existant entre le bien et le mal et toutes les nuances qui peuvent les accompagner. Ne voyez pas pour autant la série comme une fiction philosophique car ce n’est pas le cas. Elle est un moyen de réfléchir sur ses actes passés qui auront nécessairement des retombées sur notre vie future. Il faut donc les accepter car ils font partie de nous. Accepter ne veut pas pour autant dire subir, et c’est ce que prouve Angel tout au long des saisons.La série est également une très belle critique de la société américaine. De nombreux épisodes sont basés sur l’abus de pouvoir, les minorités (dont les démons font partie), la haine raciale, etc. Tant de sujets qui font la une de la presse.
Un autre atout de la série se retrouve dans les "cross-overs" avec Buffy contre les vampires. Il faut dire que pour les fans des deux séries, c’est un réel bonheur de voir les personnages se mêler les uns aux autres.
Angel a aussi des points négatifs et le principal a été, à mon goût, le personnage de Connor, le fils d’Angel, qui certes a structuré le scénario et fait avancer les héros de la série. Néanmoins, ce personnage est des plus agaçants, un véritable adolescent qui se rebelle contre la société...
Pour finir, il est à noter que la série n’a pas vraiment eu sa chance sur les chaînes hertziennes, avec TF1 qui a arrêté la programmation de la série et qui, en plus, s’est permis de censurer des scènes soi-disant trop violentes. C’est sûr qu’Angel aurait mérité un autre créneau horaire que celui du samedi après-midi...
Angela Chase est une jeune fille de 15 ans. Entourée de ses parents Patty et Graham et de sa petite sœur Danielle, elle mène une vie paisible et heureuse. Pourtant, 15 ans est un âge difficile où les adolescents se cherchent. La vie d’Angela connaît alors quelques chamboulements. Elle se teint les cheveux en rouge, elle décide de laisser tomber ses amis d’enfance, Brian le jeune intello quelque peu insupportable et Sharon son amie de toujours. Elle se rapproche de Rayanne, une jeune fille délurée et extravertie, et de son acolyte Rickie, un jeune gay qui se cherche. A tout ceci se greffe l’amour et plus particulièrement le premier grand amour, incarné par Jordan Catalano. En résumé, c’est sa "soi-disant vie".
Informations sur
- Nom original de la série My so-called life
- Créateur Winnie Holzman
- Dates 1994-1995
- Genre Drame Adolescence
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale ABC
- Chaîne(s) de diffusion française Canal Jimmy, France 2, MCM
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 19
- Durée 42 minutes
- Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
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Critique
Angela, 15 ans est une série à part dans le monde des séries dites de jeunesse. Elle a su tirer son épingle du jeu en fournissant aux téléspectateurs un réalisme dans les histoires que mènent les personnages.
La série aborde la difficile question de l’adolescence, mais à l’inverse de ses consoeurs, elle fait preuve de maturité et ne cherche pas l’artifice. Toutes les thématiques liées à l’adolescence ont leur place dans la série :
- - l’amour ;
- - la drogue ;
- - le sexe ;
- - l’amitié ;
- - le rôle des parents ;
- - les changements du corps...
Rien n’est laissé de côté, et surtout les sujets sont traités avec finesse, sans jugement de valeur ou de connotations moralisatrices.
La "voix off" d’Angela accompagne chaque épisode et permet de nous immiscer au plus profond des pensées de la jeune fille. C’est la vie d’Angela mais c’est également un peu la nôtre.
La série s’est terminée malheureusement trop tôt et laisse le public sur sa fin qui n’a plus qu’à savourer encore et encore les seuls 19 épisodes qui la composent.
A noter qu'Angela, 15 ans a lancé deux grands acteurs du grand écran : Claire Danes (U-turn, Romeo + Juliette, Terminator 3 : le soulèvement des machines) qui incarne Angela et Jared Leto (Requiem for a dream, Fight club, Panic room) qui incarne Jordan Catalano.
- Bande originale
Créée en 1993 par Michael J. Strackzynski, la série conte l’histoire de la station spatiale Babylon 5, située en territoire neutre. La station est une mission diplomatique en même temps qu’une tour de Babel du futur, dédiée à la communication et à la compréhension entre espèces. La station, va rapidement devenir un bastion au milieu d’une guerre colossale entre les humains et leurs alliés et une ancienne race, les Ombres, en même temps que le siège d'une résistance acharnée contre le pouvoir terrien corrompu. Mêlant habilement science-fiction, politique, philosophie et mystère, la série s’est rapidement imposée comme un des monuments de la science-fiction contemporaine, tant par ses personnages que par sa mythologie, aussi complexe que riche.
Informations sur
- Nom original de la série Babylon 5
- Créateur Joe Michael Straczynski
- Dates 1993-1998
- Genre Science fiction
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale TNT
- Chaîne(s) de diffusion française Canal +, W9
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 110
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Battlestar Galactica, Farscape, Star Trek, The Expanse...
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La critique chrono
À ce jour, Babylon 5 fait partie des séries les plus ambitieuses du petit écran : une histoire sur cinq ans, des conflits dignes des plus grands "space operas", des personnages attachants et une mythologie très complexe.
Une série cependant trop peu connue chez nous, mais à conseiller à tous pour ses histoires et son charme qui n’ont pas pris une ride.
- Bande originale
Nous sommes en 1996 dans l’état d’Ohio. Par une belle soirée étoilée, quatre extraterrestres débarquent sur la Terre. Ils se font appeler Dick, Sally, Tommy et Harry Solomon. Leur mission est d’observer les us et coutumes des humains et de repartir sur leur planète avec un rapport complet sur les activités de la Terre. A partir de ce jour, ils vont vivre à tour de rôle des expériences humaines, sociales, amoureuses ou encore amicales bien étranges. Il leur faut alors s’adapter et se fondre dans la masse sans éveiller de soupçons. Une mission qui s’avère bien délicate...
Informations sur
- Nom original de la série 3rd Rock from the Sun
- Créateur Bonnie Turner Terry Turner
- Dates 1996-2001
- Genre Comédie
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale NBC
- Chaîne(s) de diffusion française M6, Série Club, SciFi
- Nombre de saison(s) 6
- Nombre d'épisodes 139
- Durée 22 minutes
- Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
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Critique
3ème planète après le soleil est un ovni dans le monde des sitcoms. Et ça tombe bien car cette comédie a pour sujet principal la vie d’extraterrestres sur notre planète bleue. Pourquoi un "ovni", me diras-tu ?
Si on s’attache tout d’abord à notre pays qu’est la France, on notera que comme l’existence des extraterrestres, la série peut être remise en cause.
La première saison de 3ème planète après le soleil aurait été diffusée sur M6 lors de l’été 1996, mais est-ce réel ? Est-ce une hallucination collective ?
Alors certes, ceux qui possèdent le câble et le satellite ont pu découvrir la série dans son intégralité mais pour les autres, c’est à se demander s’ils n’ont pas été absorbés par un trou noir lors de cet été si mystérieux !Quoiqu’il en soit, la série a bel et bien existé et malgré des audiences peu concluantes outre-Atlantique, elle a connu pas moins de 139 épisodes répartis dans 6 saisons. Ceci n’est pas pour autant un gage de qualité, n’est-ce pas mesdemoiselles les telenovelas ? Cracher sur des mièvreries n’a jamais tué personne !
Revenons à nos moutons ou plus précisément à nos extraterrestres. J’avoue qu’au cours de mon visionnage de l’intégral de la série, j’ai pu me lasser des Solomon. Et ce sont notamment les deux dernières saisons qui m’ont déplues car au final ça tournait en rond et les répliques n’étaient plus aussi drôles et incisives qu’auparavant. Par contre, si on se concentre sur les premières saisons de la série, je ne peux que l’encenser car elle m’a fait hurler de rire devant les inepties dont font preuve les personnages.
L’idée de confronter des hommes venus d’une autre planète à nos us et coutumes est tout bonnement géniale. Bien entendu ce n’est pas nouveau dans le monde de la science-fiction, mais fait d’une façon aussi absurde on ne peut qu’apprécier. L’intérêt réside principalement dans la critique faite à notre société. Le personnage de Dick n’a de cesse de remettre en questions nos fondements moraux, religieux, amoureux, politiques, etc. par sa simple naïveté, le tout nous offrant des jugements simples, dignes d’un enfant, sur les équivoques de nos sociétés, mais c’est tellement vrai.
Avant de pénétrer dans la sphère des Solomon, il faut quand même bien comprendre qu’il s’agit d’une énorme caricature, que tout cela doit être pris au 36ème degré et surtout ne pas prendre la série au sérieux.
3ème planète après le soleil est une comédie absurde, loufoque, déjantée et la venue de John Cleese, célèbre Monty Python, témoigne de l’irrationalité dont fait preuve la série.
John Cleese avec les Solomon
Puisqu’on parle des personnages, je les ai trouvé très attachants. Ils ont tous à leur manière un côté drôle, excepté peut-être le pauvre Harry. Au départ, son personnage est assez comique car il ne comprend rien à la vie, il est bête et inutile. Mais au fil des épisodes et des saisons, son personnage devient agaçant et insipide. Il aurait alors été préférable de se séparer de lui et pourquoi pas mettre encore plus en avant Dick le tyran-excentrique ou un nouveau personnage.
À noter que la série a compté dans ses rangs de nombreux guests avec entre autres : David Hasselhoff (K2000), John Cleese (Monty Python), Dennis Rodman, George Takey, Marc Hamil, Peter Krause (Six Feet Under), Cindy Crawford, etc.
Dans la version américaine, les titres des épisodes comprennent dans leur quasi-totalité des jeux de mot avec le prénom "Dick", qui signifie en anglais "Pénis". La version française n’a malheureusement pas pu garder ces jeux de mot.
À partir de la saison 2 la voix de certains protagonistes change ce qui, quand on est habitué à un personnage, est désagréable. Le même cas s’était produit avec Friends et Futurama, et c’était encore pire pour ces séries étant donné que ces changements s’étaient produits lors des dernières saisons. Une autre modification est à noter, celle du générique qui évolue quelque peu à la saison 5. Rien de fondamentalement différent si ce n’est une musique un peu plus entrainante.
C’est bien beau tout ça, mais pour conclure, n’oublions que le Nostradamus du show, alias Dick Solomon, a annoncé la tombée d’un météore sur la Terre en juillet 2015. Alors sera-t-il plus perspicace et prévoyant que notre cher Paco Rabanne. Pour le savoir rendez-vous prochainement...
Mise à jour en juillet 2017 : Dick s'est trompé. Nous sommes toujours présents !
- Bande originale
Daria Morgendorffer, second rôle dans Beavis & Butt-Head, a sa propre série. C’est une jeune élève surdouée mais sarcastique qui emménage à Lawndale avec sa matérialiste de sœur Quinn et ses parents Jake et Helen. Grâce à son ironie exacerbée et sa décadence, elle se lie d’amitié avec Jane, jeune artiste partageant le même sens critique. Entourée d’un quater-back au crâne vide et de sa petite amie toute aussi intelligente, de professeurs tous aussi extrêmes les uns que les autres, des filles du club de mode, des Spiral Mystik et de beaucoup d’autres, Daria affronte cyniquement le quotidien de ce triste monde tragique...
Informations sur
- Nom original de la série Daria
- Créateur Glenn Eichler Susie Lewis
- Dates 1997-2002
- Genre Comédie Animation
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale MTV
- Chaîne(s) de diffusion française Canal +
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 67
- Durée 22 minutes
- Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
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La critique chrono
Daria est à sa manière une bonne bouffée d’air frais ; ça change des séries qu’on a l’habitude de voir. Ce cynisme et ce regard désabusé qui lui sont inhérents sont les points qui m’ont fait aimer la série ; son sens de la répartie (ainsi que celui de Jane) vaut vraiment le détour.
La série ne plaît pas à tout le monde car le côté blasé de Daria peut fatiguer à la longue, mais personnellement je n’ai jamais trouvé la série redondante. Et les personnages secondaires (Quinn et le club de mode, Jake Morgendorffer ou encore Trent) ajoutent quelques caricatures bien marrantes à ce tableau.
- Bande originale
Dawson est une série qui raconte le quotidien d’une bande d’adolescents un peu bavards. Notre héros Dawson, grand passionné de cinéma, est ami avec la jolie Joey depuis l’enfance. Celle-ci éprouve un peu plus que de l’amitié pour lui. Pacey, le meilleur ami de Dawson, le faux cancre, oscille entre insouciance et maturité. Et parmi tout ce beau monde débarque Jen, jeune New-yorkaise au passé trouble.
Informations sur
- Nom original de la série Dawson's Creek
- Créateur Kevin Williamson
- Dates 1998-2003
- Genre Drame Adolescence
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale The WB
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, NT1, TF6, AB1
- Nombre de saison(s) 6
- Nombre d'épisodes 128
- Durée 40 minutes
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La critique chrono
Dawson est une série adolescente de qualité qui a maintes fois été critiquée en raison de ses dialogues.
Les détracteurs jugeant la façon des jeunes héros de s’exprimer peu crédible. Ils n’avaient certes pas tort... à 15 ans on ne s’exprime pas comme les personnages de Dawson. Leur façon de parler est un postulat qu’il faut adopter dès le départ sans quoi l’on n’a peu de chance d’adhérer à la série. Il serait d’ailleurs dommage de s’arrêter à cela tant les dialogues sont savoureux.
La série, et notamment les deux premières saisons, est truffée de références cinématographiques de tous les genres, et les personnages sont terriblement attachants.
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Le savais-tu ?
Dans Dawson, Jen Lindley est interprétée par Michelle Williams. Pourtant, Kevin Williamson, le créateur de la série, avait pensé à Katherine Heigl (Roswell, Grey's Anatomy) qui avait fait une bonne audition.
Finalement, le talent de Michelle Williams a opéré. Elle a convaincu tout le monde de lui offrir le rôle.
- Bande originale
Dharma et Greg : un couple pas comme les autres... Leur histoire prend racine à San Francisco en 1977. Alors enfants, ils se croisent dans le métro et se sourient. Vingt ans plus tard, ils se croisent à nouveau dans ce même métro et c’est le coup de foudre. Après une folle nuit d’amour, les deux amants décident de se marier, mais voilà tout les oppose. Dharma est issue d’une famille de hippies, elle est prof de yoga et aime profiter de la vie. Greg, quant à lui, est le fils d’une riche famille, il est avocat et il est légèrement réservé. Comment un couple peut-il tenir lorsque leur vie est diamétralement opposée ? Dharma et Greg ont trouvé la solution, mais ça ne va pas être du gâteau...
Informations sur
- Nom original de la série Dharma & Greg
- Créateur Dottie Dartland Chuck Lorre
- Dates 1997 - 2002
- Genre Comédie
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale ABC
- Chaîne(s) de diffusion française Téva, M6, Série Club
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 119
- Durée 22 minutes
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Critique
J’avais suivi Dharma & Greg à l’occasion lorsque la série avait été diffusée à la télévision et pour être franc je n’en avais pas gardé un souvenir impérissable. Ce n’est que dernièrement, en entendant beaucoup de bien du créateur du show, Chuck Lorre (Mon oncle Charlie, The big bang theory...), que je me suis décidé à me lancer dans l’aventure en compagnie de Dharma et Greg, et pour tout vous dire je ne regrette pas.
Pour la petite anecdote, j’ai commencé à visionner la saison 1 durant l’été 2007 et je me suis arrêté en cours n’étant pas vraiment convaincu par la série. J’ai cependant décidé de reprendre le visionnage de la série en avril de l’année suivante et c’est avec surprise que j’ai englouti les 4 saisons restantes. L’explication est toute simple, je n’ai pas accroché à la première saison que je ne trouvais pas spécialement drôle et les scènes humoristiques tombaient souvent à l’eau. A l’inverse, le reste de la série m’a beaucoup plu. Pourquoi ?
Tout simplement parce qu’il m’aura fallu une saison pour m’approprier les personnages et m’imprégner de l’univers des Montgomery et des Finkelstein. Au début, ces deux familles sont très caricaturales et m’ont laissé indifférent, mais à les suivre au quotidien pendant 119 épisodes, on décèle la qualité du jeu des acteurs et on se prend à rire des loufoqueries de Larry, du franc-parler d’Edward, des bonnes manières outrancières de Kitty et des excentricités de Dharma. Bref au terme de ces 5 saisons, on est sous le charme et on a qu’une envie, c’est que ça continue...
Pourtant, Chuck Lorre achève la série d’une fort belle manière et heureusement pas sur un "happy end" trop évident. Certes il y a tout de même un "happy end", on est rappelons-le dans une sitcom, mais toute la remise en question du couple lorsqu’ils abordent le thème de l’éducation est très intéressante. Dharma et Greg comprennent que depuis 5 ans, leur couple est basé sur des illusions. Leurs familles sont trop différentes et leur façon de voir le monde diffère. Mais ils comprennent que ses problèmes inhérents à chaque couple peuvent être surpassés et que seul compte l’amour qu’ils ont l’un pour l’autre. Un véritable conte de fée qui prend vie dans la ville de San Francisco.
Une chose intéressante est à noter quant à la fin des épisodes de la série. Si vous avez enregistré ou si vous disposez des épisodes en DVD, vous pourrez mettre pause à la toute fin pour vous rendre compte qu’une note est rédigée. Il s’agit des producteurs et du créateur Chuck Lorre qui écrivent une note à chaque fin d’épisode sur des sujets divers et variés qui ont pu être abordés lors de l’épisode. On retrouve cette manière de faire dans les autres séries créées par Chuck Lorre : Mon oncle Charlie et The big bang theory notamment.
Je pourrais m’étendre encore longuement sur la série tant il y aurait de choses à dire, mais le mieux est de vous laisser découvrir Dharma et Greg, un couple pas comme les autres qui vous donnera envie d’aimer...
- Bande originale