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Sarah, Adam, Crosby et Julia sont frères et soeurs. Bienvenue dans le quotidien de leur clan, le clan des Braverman...
Informations sur
- Nom original de la série Parenthood
- Créateur Jason Katims
- Dates 2010-2015
- Genre Drame Famille
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale NBC
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, HD1
- Nombre de saison(s) 6
- Nombre d'épisodes 103
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
This is us, La vie à cinq, Corky, un adolescent pas comme les autres, Brothers & sisters.
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La critique chrono
Parenthood, une histoire de générations
- La série est portée par un casting remarquable avec en particulier Peter Krause (Six Feet Under) et Lauren Graham (Gilmore Girls).
- Parenthood parle avec justesse de la famille, dans les meilleurs moments comme dans les pires.
- Une bande son variée qui accompagne parfaitement les moments de vie des Braverman : Marvin Gaye, Elvis Presley, Creedence, Band of Horses, sans oublier son générique avec Bob Dylan.
- Quelques clichés ici et là dans l'écriture, mais n'en faut-il pas un peu pour s'identifier plus aisément à cette famille ?
- Au fil des saisons le drame familial glisse vers le teen drama. Logique, les enfants ont grandi, mais on perd légèrement le côté plus mature du show.
- Bande originale
The shield se déroule dans le commissariat de Farmington situé à Los Angeles. En plein cœur des quartiers chauds de la ville, les équipes du commissariat se démènent pour ramener le calme et une vie paisible. On suit tout au long de la série, les enquêtes d'inspecteurs de police et de la "Strike team", unité d'élite menée de main de maître par Vic Mackey. La série se tisse autour d'enquêtes sordides et d’actions plus ou moins louables auxquelles se livre l'unité spéciale.
Informations sur
- Nom original de la série The Shield
- Créateur Shawn Ryan
- Dates 2002-2008
- Genre Drame Policier
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale FX
- Chaîne(s) de diffusion française France 3, Canal +, NT1, Jimmy, 13ème rue
- Nombre de saison(s) 7
- Nombre d'épisodes 88
- Durée 45 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Les Soprano, Sons of Anarchy, Mayans M.C., Ozark, Flics, Sur écoute...
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Critique
The shield, ou la série policière qui a bouleversé les règles du genre dans lequel elle s'inscrit.
Comme toute bonne série policière, The shield s'attache à présenter les flics (les bons) et les bandits (les méchants). Sur cette base de départ, la série est une série policière des plus banales. Mais voilà, The shield n'est pourtant pas une série policière comme les autres. Aucune banalité dans ce copshow qui a su se démarquer et s'ancrer dans un univers qui lui est propre. Ici, les flics ne sont pas tous des bons flics. Ils ne sont pas de simples ripoux qui cherchent la corruption à tout bout de champ, bien au contraire, ces flics ripoux ont une humanité exacerbée qui accroche le spectateur à sa télévision et qui lui donne cette sensation de manque quand un épisode se termine.
Comme son précurseur des années 80 Hill Street Blues (plus connu en France sous le nom de Capitaine Furillo), la série présente la vie dans un commissariat où les crimes ne sont pas les principaux éléments qui constituent l’histoire. Pour les adeptes des crimes à résoudre, pas de panique, ça reste une série policière et il y a de quoi se mettre sous la dent, notamment avec les enquêtes menées de main de maître par Dutch et Claudette.
Un des points forts du show est qu’il s’ancre dans la présentation des états d'âme des personnages. D’une manière subtile, on pénètre assez facilement dans la tête des personnages pour les découvrir à la fois avec leurs forces et leurs faiblesses, et au cours des épisodes chaque personnage se dévoile un peu plus à nous. Tel un Tony Soprano (Les Soprano), le plus exécrable des personnages de la série dévoile une part d'humanité qui touche le spectateur et lui fait accepter certains écarts de conduite de celui-ci. Cette force de pénétrer aisément dans la peau des personnages appelle nécessairement un travail d’écriture de qualité et bien entendu un jeu d’acteur époustouflant. Michael Chiklis et ses compères ont mené la série durant 7 saisons d’une main de maître. Et la présence de guests de qualité tels que Glenn Close, Forest Whitaker ou encore Laura Elena Harring rajoute à la qualité de la série.
Parler de The shield sans mentionner la réalisation serait préjudiciable à une bonne critique. Le travail des caméras à la main est impeccable et nous plonge parfaitement au cœur de l’action. On fait partie intégrante de la Strike Team et le stress devient notre lot quotidien.
Au fil des saisons, la tension monte de plus en plus pour atteindre son paroxysme dans un épisode final qui clôture à merveille la série. Là où des séries se perdent par leur nombre de saisons, The shield a su rester fidèle à elle-même et offrir à ses fans un parcours scénaristique irréprochable du début à la fin. J’émettrais tout de même une réserve sur la complexité des affaires. En effet, il convient de regarder la série du début à la fin sans louper un seul épisode. Ici, pas de stand alone episode, comme dans beaucoup de copshows. Il est essentiel de regarder la série dans son intégralité si l’on veut comprendre les tenants et les aboutissants de l’univers de The shield.
Tu l'auras compris, je ne serais donc pas objectif avec cette série qui, au même titre qu’un Six feet under ou d’un The Sopranos, fait partie de mes séries cultes. Une page s’est tournée avec la fin de The shield et j’espère un jour pouvoir retrouver une telle qualité et une telle hargne dans un projet télévisuel.
Bref, il s'agit ici d'une série violente et intelligente à mettre entre toutes les mains.
- Bande originale
Informations sur
- Nom original de la série Looking
- Créateur Michael Lannan Andrew Haigh
- Dates 2014-2015
- Genre Comédie drame
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale HBO
- Chaîne(s) de diffusion française OCS City
- Nombre de saison(s) 2
- Nombre d'épisodes 18
- Durée 30 minutes
Carrie, Charlotte, Miranda et Samantha sont 4 amies vuivant à New York. Sex and the City suit leur quotidien voguant entre travail, histoires d'amour et sexe...
Informations sur
- Nom original de la série Sex and the City
- Créateur Darren Star
- Dates 1998-2004
- Genre Comédie Drame
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale HBO
- Chaîne(s) de diffusion française M6, Téva
- Nombre de saison(s) 6
- Nombre d'épisodes 94
- Durée 30 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
And Just Like That…, Desperate Housewives, Girls, Cashmere Mafia, Lipstick Jungle, The Carrie Diaries, Pure...
- Bande originale
Basra, sud de l’Irak en 2003, Mike et son équipe se préparent à attaquer un immeuble qui est aux mains des irakiens. Une fois sur place, ils sont piégés par une bombe qui explose et blesse une partie des hommes ainsi qu’une fillette qui était sur les lieux. Deux mois plus tard, en juin 2003, Mike et ses hommes reviennent au pays avec leur conscience et le poids des actes qu’ils ont commis sur place...
Informations sur
- Nom original de la série Occupation
- Créateur Peter Bowker
- Dates 2009-2009
- Genre Drame Guerre
- Pays de production Roayume Uni
- Chaîne(s) de diffusion originale BBC One
- Chaîne(s) de diffusion française Arte
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 3
- Durée 60 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Generation Kill, Over There, The Pacific, Band of Brothers...
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Critique
Depuis 2005, les séries ayant pour thème la guerre en Irak ont fleuri sur nos écrans de télévision. L’actualité étant ce qu’elle est, il est d’une logique implacable de voir les fictions s’intéresser de près aux événements internationaux. Il faut dire que la guerre en Irak a fait couler beaucoup d’encre et a suscité de nombreuses discordes idéologiques, politiques et religieuses. Ce ne sont pas les points de vue qui manquent et il y a tellement de choses à raconter que développer une histoire basée sur la réalité historique des faits ou relater une histoire romancée peut se faire assez simplement... encore faut-il avoir un certain talent d’écriture !
Ainsi, des séries comme Over There, Generation Kill ou encore House of Saddam ont vu le jour. Les deux premières sont centrées sur la vie de soldats américains en Irak, quant à la seconde, elle s’intéresse historiquement à l’homme politique qu’était Saddam Hussein.
La guerre en Irak n’est pas un cas particulier. En effet, la seconde guerre mondiale a également été une source d’inspiration pour beaucoup de scénaristes avec des séries comme Frères d’armes (Band of Brothers dans sa version originale), The Pacific, Les têtes brûlées, Papa Schultz...
Occupation est une série courte qui en trois épisodes propose de nous présenter la vie de trois soldats anglais suite à leur premier engagement pour se rendre en Irak. La série aborde le sujet de la guerre à travers deux angles :
- - Le premier est le moment où les soldats se retrouvent sur le front. Ils sont soldats, ils ont peur, ils découvrent une population qui a souvent autant peur qu’eux et font face à la mort quotidiennement.
- - Le second angle d’attaque de la série, et à mon goût le plus intéressant, est de s’attacher à présenter les soldats une fois qu’ils sont rentrés chez eux et qu’ils doivent affronter leur quotidien. Le terme d’affrontement n’est pas anodin car le retour à la maison est loin d’être évident. La guerre a chamboulé leur existence et c’est une fois face à leur ancienne vie que les soldats vont devenir des âmes errantes sans but et sans vie. La guerre a se pouvoir d’annihiler chaque homme.
Occupation est en cela une série très prenante. En seulement trois épisodes elle réussit à toucher de plein fouet les téléspectateurs. Il faut dire que les acteurs servent à merveille la série. Une mention spéciale à James Nesbitt qui nous éblouit une nouvelle fois après avoir été parfait dans la mini-série Jekyll, adaptation libre et moderne du roman de Robert Louis Stevenson, Docteur Jekyll et Mister Hyde.James Nesbitt
Si tu affectionnes les fictions s’intéressant à la guerre, sois curieux et regarde Occupation, tu ne le regretteras pas !
Le vol 815 de la Oceanic Airlines s'écrase en plein milieu des îles du Pacifique. Les survivants du crash doivent à présent vivre ensemble et survivre sur cette île qui semble inhabitées, mais qui recèle de nombreux secrets...
Informations sur
- Nom original de la série Lost
- Créateur J. J. Abrams Jeffrey Lieber Damon Lindelof
- Dates 2004-2010
- Genre Drame Science fiction Mystère
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale ABC
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, France Ô
- Nombre de saison(s) 6
- Nombre d'épisodes 121
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Manifest, Under the Dome, The Event, Flashforward, The Wilds, Les 4400...
- Bande originale
Lindy est une jeune hackeuse de talent. Suite à l'enlèvement de sa soeur, elle utilise ses compétences en informatique pour aider des personnes disparues. Elle espère aussi retrouver la piste de sa soeur.
Informations sur
- Nom original de la série Eye candy
- Créateur R. L. Stine (écrivain)
- Dates 2015-2015
- Genre Drame Policier
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale MTV
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 10
- Durée 42 minutes
Emily Thorne, une jeune femme, retourne vivre dans les Hamptons où elle a vécu toute son enfance. Sauf qu'à l'époque elle s'appelait Amanda Clarke. Elle revient dans un but bien précis, venger son père et trouver ceux qui ont brisé son enfance.
Informations sur
- Nom original de la série Revenge
- Créateur Mike Kelley
- Dates 2011-2015
- Genre Drame Mystère
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale ABC
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, NT1, Canal+ Family
- Nombre de saison(s) 4
- Nombre d'épisodes 89
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Desperate Housewives, Pretty Little Liars, Ringer, Hidden Palms...
- Bande originale
A l’intérieur d’Oswald, centre pénitentiaire de haute sécurité, a été aménagé un quartier expérimental nommé Emerald city. Dans cette prison de verre, les détenus dorment dans des cellules où les vitres ont remplacé les barreaux et Tim McManus, directeur du bloc, tente de concilier discipline et éducation. Parmi les prisonniers, aussi bien incarcérés pour braquage, meurtre, trafic de drogues, que ce soit pour deux ans ou à perpétuité, on distingue différents clans : gangsta, ritals, latinos, irlandais, nazis, bikers, musulmans. Une cohabitation difficile. Ils se frottent les uns aux autres, se battent, s’entretuent, s’éliminent par les coups les plus bas. Chaque clan a son leader charismatique, leader à l’autorité tôt ou tard contestée. A Oz, on a plus d’ennemis que d’amis, les matons ne font pas dans la dentelle et aucun magicien ne vous permettra de claquer des chaussures pour rentrer dans votre foyer...
Informations sur
- Nom original de la série Oz
- Créateur Tom Fontana
- Dates 1997-2003
- Genre Drame
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale HBO
- Chaîne(s) de diffusion française M6, Série Club
- Nombre de saison(s) 6
- Nombre d'épisodes 56
- Durée 55 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Escape at Dannemora, Orange is the new black, Criminal Justice, Prison Break...
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Critique
Prison Break semble bien fade et d’une platitude extrême une fois qu’on a vu Oz. Dans la série pénitentiaire, on fera difficilement mieux que celle-ci. Même si elle est déjà culte, il restera difficile de se la procurer ou de la voir en entier à la télé. Et elle n’est pas prête de passer en prime-time...
Oz abrite que des pourris, qu’ils dirigent les murs, y fassent régner l’ordre ou en soient prisonniers. Aucun homme n’est totalement bon (les femmes échappent un peu à la règle mais elles sont pratiquement absentes de la série), les bourreaux deviennent victimes et inversement. On assiste à des retournements de situation surprenants, portés par des acteurs tous excellents (ils sont nombreux et on a su les apprécier dans d’autres séries, dont plusieurs dans Lost).
Tom Fontana, producteur et scénariste, ose tout et nous désarçonne constamment, jusque dans l’extrême violence (la série est interdite aux moins de 16 ans) qui choquera certains spectateurs et dissuadera les plus sensibles. L’enfer doit être un peu de ce goût-là... Et s’il est vraiment pavé de bonnes intentions alors ce ne sont que celles de McManus qui croient dur comme fer en son unité expérimentale comme moyen de rédemption... Même si les agressions, les humiliations, la haine, la soif de pouvoir s’accumulent d’épisodes en épisodes, on s’attache à ces personnages charismatiques. Le communautarisme peut parfois sembler caricatural et la religion trop prégnante mais tout est, de toute manière, exacerbé dans la série. Et l’exagération ne lui nuit pas. Elle l’étoffe au contraire. Dans ce huis-clos – les personnages ne sortent jamais – on étouffe tellement que tout ne peut être qu’amplifié.
Le tout est toujours bien réalisé, avec notamment une très bonne gestion du rythme qui fait qu’on ne trouve jamais le temps long et que chaque scène a sa place dans tout un ensemble. L’idée du narrateur enfermé dans un cube de verre (le détenu Augustus Hill interprété par Harold Perrineau) qui s’adresse à nous à chaque début d’épisode et nous immerge ainsi dans le quotidien carcéral en nous présentant, avec cynisme et ironie, les chefs d’accusation et les peines d’un ou plusieurs détenus (les différences de peine pour le même crime varient d’un détenu à l’autre, bien souvent selon la couleur de sa peau), est novatrice et particulièrement prégnante. Même si la première saison reste la meilleure (le suspens sur lequel nous laisse le dernier épisode est insoutenable, l’émeute de Prison Break à côté de ça, c’est du pipi de chat !), toutes les autres se renouvellent avec talent. On restera même sur notre faim à l’épisode 56...
À lire : Ces 10 acteurs ont joué dans Oz, tu les remets ? | Pourquoi tu ferais mieux de regarder ces séries plutôt que Prison Break ?
- Bande originale
En 1788, l'Angleterre colonise l'Australie. Ses immigrants d'un autre genre se composent de militaires et de détenus. Ils sont envoyés dans l'hémisphère sud pour y purger leur peine et ensuite s'y établir. Banished suit le destin mêlé de ces détenus et de leurs géôliers.
Informations sur
- Nom original de la série Banished
- Créateur Jimmy McGovern
- Dates 2015-2015
- Genre Drame Historique
- Pays de production Royaume Uni
- Chaîne(s) de diffusion originale BBC Two
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 7
- Durée 55 minutes