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Nancy Botwin, une mère au foyer, vient de perdre son mari. Souhaitant conserver son style de vie et faisant face à des problèmes financiers, elle s'intéresse au trafic de cannabis. Elle découvre alors d'un nouvel œil son voisinage tout en se retrouvant embarquée dans des affaires qui peuvent s'avérer dangereuses.
Informations sur
- Nom original de la série Weeds
- Créateur Jenji Kohan
- Dates 2005-2012
- Genre Comédie dramatique
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale Showtime
- Chaîne(s) de diffusion française Canal+, Jimmy
- Nombre de saison(s) 8
- Nombre d'épisodes 102
- Durée 30 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Nurse Jackie, Californication, Entourage, Hung, House of Lies, The Big C, United States of Tara.
- Bande originale
Dans les années 60, Elizabeth est une brillante scientifique qui après avoir été exclue de son programme de doctorat en chimie trouve une nouvelle voie en tant qu’animatrice d’une émission culinaire pour une télévision locale. L’occasion pour elle de poursuivre d’une manière détournée sa passion pour les sciences tout en distillant des messages féministes.
Informations sur
- Nom original de la série Lessons in Chemistry
- Créateur Susannah Grant
- Dates 2023-2023
- Genre Drame Mini série
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale Apple TV+
- Chaîne(s) de diffusion française Apple TV+
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 8
- Durée 50 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Le Jeu de la dame, La Fabuleuse Madame Maisel...
- Bande originale
C'est l'histoire de Gus, un jeune hybride mi-homme mi-cerf ou mi-marin-pêcheur ou mi-jeune-cadre-dynamique-en-doudoune-sans-manche qui, après s’être retrouvé seul, entreprend un voyage à travers un monde désolé, marqué par les stigmates de l’effondrement de la société. Avec l'aide de compagnons improbables, Gus cherche des réponses sur ses origines et sur l'épidémie qui a décimé l'humanité.
Informations sur
- Nom original de la série Sweet Tooth
- Créateur Jeff Lemire
- Dates 2021-2024
- Genre FantastiquePost apocalyptique
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale Netflix
- Chaîne(s) de diffusion française Netflix
- Nombre de saison(s) 3
- Nombre d'épisodes 24
- Durée 45 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Fallout, Station Eleven, Survivors, The Last Man On Earth, etc.
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La critique chrono
Sweet Tooth est un post-apo avec des personnages attachants et un message fort. Malgré une baisse de régime et un manque de subtilité dans ses prises de parole, la série arrive tout de même à séduire.La principale force de Sweet Tooth réside dans ses personnages. Leur développement nous est conté tout au long de la série que ce soit sous la forme de flashbacks ou de dialogues. Le tout est bien amené, sans jamais être chiant, et rend le parcours de chacun assez captivant. Gus, avec son innocence et sa détermination, est touchant. Il est parfois à la limite du personnage qui pourrait devenir insupportable, mais son capital sympathie reprend toujours le dessus.
La série aborde des thématiques écologiques et sociales, posant des questions pertinentes sur l'impact de l'homme sur la nature. Elle incite à la réflexion sur notre rôle et notre responsabilité sur notre belle planète bleue. Des questions qui devraient interpeller toute personne normalement constituée, sauf si on est un gros con (au fémininin ça fonctionne aussi) sans aucune morale. Ce que tu n’es pas, j’en suis sûr !
Les relations humaines sont au centre de l’histoire de Sweet Tooth. On se prend rapidement d’affection pour le duo Gus / Big Man. La série saupoudre son récit de valeurs essentielles que sont l’humanisme, la compassion et l’empathie, valeurs encore plus fondamentales dans un monde dévasté. Les relations qui se créent au fil de l’histoire et les moments de solidarité apportent une profondeur touchante et sincère à la série.
Malgré ses bonnes intentions, la série peut parfois être un peu trop simpliste dans son message écologique. Les thèmes sont parfois traités de manière trop évidente, manquant de la finesse que l'on pourrait espérer pour une telle réflexion. Mais il est difficile de lui en vouloir tant l’humanité a besoin d’ouvrir les yeux sur ce qui lui pend au nez si nous poursuivons d’agir de la sorte. Oui, il faut prendre soin de la nature, merci Gus de le rappeler et d’incarner ce message !
La deuxième saison peine à maintenir l'intensité et l'originalité des débuts. Certaines intrigues semblent s'étirer inutilement, et l'impact émotionnel des premiers épisodes se fait moins sentir, rendant cette saison moins percutante. Même les personnages deviennent ennuyeux, que ce soit Gus avec sa nouvelle bande de copains ou encore le Général Abbot qui est une caricature de tous les méchants vus et revus dans ce genre de fiction.
- Bande originale
Leia Forman, la fille d’Eric et Donna, décide de passer l’été chez ses grands-parents, Red et Kitty, à Point Place. Elle y rencontre une bande d’adolescents avec qui elle découvre les joies et les problèmes de l’adolescence. Entre nostalgie des années 90 et clins d’œil à That 70's Show, la série mélange humour et moments touchants autour de cette nouvelle génération. Le tout sous l’œil désapprobateur de Red et la malice de Kitty.
Informations sur
- Nom original de la série That '90s Show
- Créateur Bonnie Turner Terry Turner Gregg Mettler Lindsay Turner
- Dates 2023-2024
- Genre Comédie
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale Netflix
- Chaîne(s) de diffusion française Netflix
- Nombre de saison(s) 2
- Nombre d'épisodes 26
- Durée 25 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
That 70's Show, Parents à tout prix, Malcolm, Freaks and Geeks...
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Critique
Quand les grands-parents sauvent les meubles
Revenir à Point Place, c'est comme retrouver des vieux potes. L’esprit de That 70's Show est présent, avec des références qui font mouche. Les décors, l’humour ou les nombreuses refs à la série originale, tout est là pour nous permettre de passer un bon moment. La série n’est cependant pas qu’un simple copier-coller. Elle modernise certains aspects, tout en gardant l'essence qui a fait le succès de l’original, offrant un bel hommage.
Kitty et Red sont toujours les patrons ! Ce duo mythique est la véritable colonne vertébrale de la série. Red râle toujours avec une efficacité redoutable, prêt à défoncer chaque ado croisant son chemin. Son dédain légendaire pour la jeunesse est un pur plaisir, donnant lieu à des punchlines cinglantes. Kitty, quant à elle, est toujours enjouée, avec son grain de folie si WTF. Une alchimie intacte qui nous rappelle pourquoi on a tant aimé l’original.
That 90's Show surfe clairement sur la vague nostalgique. Les clins d’œil à That 70's Show sont cools, mais l’impression que la série vit dans l’ombre de son aînée est trop présente. Les nouveaux ados font de leur mieux. Pourtant, l’aura du gang des 70s, plane inexorablement au-dessus d’elle, difficile de rivaliser. Ce revival joue beaucoup sur la corde sensible des fans, sans vraiment réussir à proposer une identité propre. Sympa, mais ça sent le réchauffé !
Comme souvent, Netflix livre une série qui manque un peu de substance. Elle fait le minimum syndical en cochant les cases du cahier des charges du revival. Au lieu de miser sur un ton audacieux ou innovant, tout en se démarquant de sa grande sœur, That 90's Show reste sage, 0 prise de risques. L’ambiance qu’on aimait est là, mais Netflix nous livre un simple produit, sans âme, juste pour occuper un créneau et faire du pognon. Dommage !
- Bande originale
Le Rebelle suit les aventures de Reno Raines, un ancien policier accusé à tort de meurtre, en fuite et déterminé à faire éclater la vérité. Trahi par des officiers corrompus, Reno, incarné par Lorenzo Lamas, traverse les États-Unis à moto, traquant les criminels tout en essayant de blanchir son nom. Aux côté de Bobby Sixkiller et de Cheyenne, chasseurs de primes, il joue au bon samaritain...
Informations sur
- Nom original de la série Renegade
- Créateur Stephen J. Cannell
- Dates 1992-1997
- Genre Action
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale USA Network
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, NT1, Jimmy, RTL9, TF6, AB1
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 110
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
"L'Agence tous risques", "Los Angeles Heat", "Rick Hunter", "Walker, Texas Ranger", "Cobra", "Les Dessous de Palm Beach", "Fastlane"...
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La critique chrono
Tu as envie de (re)vivre l'expérience du premier épisode de "Le rebelle", viens par ici : Le Rebelle : un premier épisode entre culte du corps et absence d’action.
C'est l'histoire de Jenny, une ancienne flic au caractère bien trempé, et de Cassie, détective privée, qui unissent leurs forces pour enquêter sur la disparition inquiétante de deux jeunes filles dans le Montana. Rapidement, elles découvrent un réseau de crimes bien plus vaste et sombre, et des secrets bien enfouis.
Informations sur
- Nom original de la série Big Sky
- Créateur David E. Kelley
- Dates 2020-2023
- Genre Policier
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale ABC, Disney +
- Chaîne(s) de diffusion française Disney +
- Nombre de saison(s) 3
- Nombre d'épisodes 47
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
"Absentia", "Stumptown", "In plain Sight", "Women's murder club"...
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La critique chrono
Quand le thriller vire au soap
Soyons honnêtes, Katheryn Winnick (aka Lagertha dans la série "Vikings") est LE véritable atout de "Big Sky". Charismatique et badass, elle illumine l’écran dès son arrivée dans la série... même si la réalisation préfère zoomer sur son jean ultra-moulant plutôt que sur son talent d’actrice. Pourtant, sans elle, "Big Sky" perdrait son dernier soupçon d’intérêt. Les paysages du Montana aident aussi, mais on n'a pas signé pour un documentaire nature !
Kidnappings, chasse à l’homme, secrets glauques... Tout cela aurait pu fonctionner si ce n'était pas exécuté avec la subtilité d’un dragueur dans les transports en commun. Les twists sont prévisibles, les tensions quasi inexistantes, et on a l'impression de revivre la même intrigue épisode après épisode. Et puis, ce genre de séries "à mystère", on commence à en avoir ras-le-bol. Il est temps de se renouveler un peu...
Les personnages de "Big Sky" sont des clichés ambulants aux choix narratifs douteux. Jenny, l’ex-flic badass, et Cassie, la détective méticuleuse, avaient pourtant du potentiel. Malheureusement, leurs interactions tombent souvent dans des stéréotypes et des dialogues insipides. Quant aux antagonistes, ils manquent cruellement de nuance, se limitant à des "méchants de service" sans profondeur. Aucun personnage ne suscite une véritable empathie ou curiosité.
Trois saisons, c'est beaucoup trop pour une intrigue qui aurait tenu en un téléfilm du dimanche. Les premiers épisodes interpellent, certes, mais très vite, "Big Sky" s’égare dans des sous-intrigues inutiles et un ton oscillant entre thriller et soap opera maladroit. Les rebondissements deviennent prévisibles, voire absurdes, et chaque épisode donne l’impression que les scénaristes cherchent désespérément à combler du vide...
C’est l’histoire de Dylan Campbell et de ses deux acolytes, Spud et Jordy, ados en quête de frissons et de succès. Dans une Amérique des années 80, en plein Satanic Panic, ils plongent dans l’univers de la musique et des rituels occultes, persuadés que la peur du Diable, au sein de leur petite bourgade, pourra les aider à percer. Entre guitares hurlantes et paranoïa collective, ils vont vite comprendre que le danger n’est peut-être pas là où on l’attend...
Informations sur
- Nom original de la série Hysteria!
- Créateur Matthew Scott Kane
- Dates 2024-2024
- Genre Horreur Comédie Fantastique Adolescence
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale Peacock
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 8
- Durée 50 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
"Sweetpea", "Stan against evil", "Midnight Mass", "Outcast", "The Exorcist", "Evil"...
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La critique chrono
"Hysteria!" avait tout pour être un bijou rock’n’roll horrifique, mais à trop vouloir en faire, elle se perd un peu en route.
Enfin une série qui rend hommage à la musique amplifiée et vénère : le rock et le métal ! Et rien que pour ça, je peux te dire que ça me rend heureux ! Les riffs sont là, les références aussi et une bande son qui vaut le coup : Judas Priest, Queen, Alice Cooper, Iron Maiden et l’excellent groupe de rock Doo-wop occulte Twin Temple... La série est un bel hommage à un genre trop souvent laissé de côté.
Quand l’inimitable Bruce Campbell ("Evil Dead", "Ash vs Evil Dead") est de la partie, ça mérite déjà un détour. L’acteur culte apporte son charisme et son sens du second degré, et franchement, ça fait plaisir de le voir dans ce genre d’univers. Le reste du casting ne démérite pas avec entre autres : Julie Bowen ("Modern Family"), Anna Camp ("True Blood", "The Good Wife"), Garret Dillahunt ("Fear The Walking Dead", "Deadwood"...), etc.
Dans les années 80 aux États-Unis, il y a eu ce qu’on a appelé la Satanic Panic, une période durant laquelle les croyances autour du satanisme et de l’occulte allaient bon train. Parmi le lot des rumeurs, l’une d’elle touchait particulièrement la musique et les groupes de métal qui vendaient soi-disant leur âme au Malin. "Hysteria!" joue avec les codes de cette hystérie collective et en fait une toile de fond intrigante, entre horreur et paranoïa collective.
"Hysteria!" nous vend du métal et des références au Diable, mais on se rend vite compte que tout ça passe au second plan, surtout la musique, pour laisser place aux éternels dramas d’ados en chaleur. Certes ils sont ados et ont les hormones qui frétillent, mais Dylan, devient vite l’archétype du héros agaçant en enchaînant les mauvaises décisions pour "apprendre la vie". Je m’attendais à ce que la musique soit plus centrale dans l’intrigue.
La série ne sait pas sur quel pied danser !
Entre comédie mordante, drame pour ados, horreur... "Hysteria!" veut jouer sur tous les tableaux à la fois. Résultat : elle finit par se disperser et ne pas trouver sa véritable patte. L’humour qu’on sentait au départ devient trop timide au fil des épisodes. Quant à l’ambiance horrifique, elle manque de mordant. Au final, la série a le cul entre deux chaises et on reste sur notre fin.
- Bande originale
Marissa, Summer, Seth, Sandy, Kirsten, Caleb, Luke, Julie... tout ce beau monde (oui ils sont tous beaux) habite à Newport Beach, petite bourgade de la Californie où l'opulence n'est pas un gros mot mais un art de penser et de régir sa vie. L'arrivée de Ryan va alors bouleverser le quotidien de ce petit monde. Tel un uppercut en plein visage du luxe, Ryan nous accueille à Newport Beach. Bienvenue bitches !
Dans la vie, il y a ceux qu’on a envie d’appeler boule de billard et il y a les autres. Vic Mackey, le héros de la série culte The Shield fait clairement partie de cette seconde catégorie de personne.
Tout du moins, c’est le conseil que je te donne, mieux vaut éviter de se retrouver dans le collimateur du flic le plus pourri du monde des séries télévisées.
Bienvenue au sein de la Strike Team et de l’univers immoral de The Shield.