Ce titre d'article n'est pas accrocheur, je te l'accorde. En effet, qui irait perdre du temps à lire un article sur des séries courtes qui ne valent pas le coup d'être vues ? Apparemment toi car tu es toujours là, et je sens que j'ai aiguisé ta curiosité ou alors c'est une résurgence de ton côté SM. N'est-ce pas mon coquin ;)
Marie-Constance : "Êtes-vous devenu fou de montrer de telles images et de parler de choses aussi sales et contre nature. Monsieur, votre outrecuidance me désespère. Votre propre mère doit avoir honte de vous. Je la plains."
Ô Sainte Marie-Constance, je me repentis. Absous-moi de mes pêchés, fouette-moi, souille-moi, attache-moi au radiateur et lis moi la Bible en polonais... Et reviens... elle est partie, flûte alors !
Avant d'aller plus moins, je vais te renvoyer à deux articles. Le premier, le pendant de celui-ci, est 8 séries courtes incontournables à regarder cet été. Le second est tout simplement l'abécédaire des séries de merde. De quoi rassasier ton appétence pour les fictions insipides.
La liste ci-dessous présentera à la fois des mini-séries, c'est-à-dire des séries produites pour être courtes (une seule saison), et des séries dont la production s'est arrêtée prématurément suite à une annulation. Une annulation qui survient généralement par un manque d'audience, ce qui est très souvent lié à la piètre qualité de la série.
Ce qui ne veut pas dire que toutes les séries annulées par manque d'audience sont à mettre à la poubelle. Certaines sont de très bonnes factures, mais n'ont pas su trouver leur public. Je pense notamment à des séries comme John Doe, Studio 60 on the Sunset Strip, Profit, Angela 15 ans, Firefly, Terriers, etc. La liste est très longue et je pense y revenir dans un prochain article.
Voici les 8 séries que je déconseille vivement à toute personne saine de corps et d'esprit :
Du machisme avec Manimal
Tu aimes quand il y a de bons effets spéciaux, quand une fiction ravive de bons souvenirs d'enfance, quand les hommes sont de véritables gentlemen, alors ne regarde pas Manimal.
Cette série courte des années 80 est un supplice.
Pourtant, enfant, Manimal m'avait littéralement subjugué. Tu peux retrouver mon expérience de gamin face à cette fiction dans ma critique de la série. Et comme je l'expliquais à l'époque, si tu as regardé la série lorsque tu étais encore glabre, passe ton chemin à présent. Ne te replonge SURTOUT pas dans la série maintenant.
Ta déception sera immense et tu te sentiras souillé jusqu'à la fin des temps. Ton esprit critique d'adulte ne pourra supporter une telle offense. Crois-moi, j'en souffre encore et mes nuits sont tellement tourmentées que mes draps en subissent les conséquences, ou alors j'ai des problèmes d'incontinence...
Outre le fait que la série a très mal vieilli, il y a aussi son héros qui vaut son pesant de cacahuètes.
Jonathan Chase, que tu pouvais aduler quand tu étais jeune, n'est finalement pas si cool que ça. Le mec est probablement le plus gros beauf de la télévision (n'en déplaise à Arthur et Patrick Sébastien pour la concurrence). Sous ses airs de gentleman, le Manimal est une ordure.
Alors oui, il paraît sympa au premier abord, même prévenant vis-à-vis de ses collègues/amis. En effet, il est toujours là pour eux, et il est clairement quelqu'un qui aime son prochain. Pourtant, la pauvre Brooke McKenzie, sa fidèle alliée, a droit aux remarques bien vaseuses et surtout très misogynes de mister Chase. Le genre de mec qui mériterait un bon coup de pied dans ses parties les plus intimes !
En résumé, Manimal est faite pour toi si tu aimes les effets spéciaux réalisés par Jean-Michel Playdoh, si tu aimes souiller tes souvenirs d'enfance et si tu aimes les bons gros beaufs.
Du soap slasher avec Harper's Island
Tu aimes quand une série d'horreur fait peur, quand les meurtres foisonnent à chaque scène, quand les personnages énervants y passent dès le début, alors ne regarde pas Harper's Island.
Cette série horrifique des années 2000 a subi mon courroux il y a quelques mois pour Halloween. Si tu n'as pas lu ce formidable article, il est encore temps : Harper's Island invente le soap slasher.
En résumé, voilà les propos que je tenais :
- Harper's Island est un série d'horreur qui reprend assez fidèlement les codes d'un slasher.
- Les meurtres sont bien présents, mais restent anodins face à la quantité d'histoires insignifiantes que la série nous délivre.
- Le format est trop long et n'offre pas à la série la dynamique à laquelle peuvent prétendre les films ou séries du genre.
- Les personnages sont certes des caricatures de ce type de fictions, mais sur autant d'épisodes ça devient pénible à regarder.
En résumé, Harper's Island est faite pour toi si tu aimes suivre les histoires insipides des personnages secondaires, si tu aimes des comédiens "tête à claques", si tu aimes les slasher bas de gamme.
Du piètre spin-off avec That 80's show
Tu aimes quand une série te propose un spin-off de qualité, quand une comédie te fait rire à gorge déployée, quand une série se démarque par la qualité de son scénario, alors ne regarde pas That 80's Show.
Avant toute chose, je tiens à préciser que je suis un très grand fan de That 70's Show... enfin jusqu'à sa saison 7. La 8ème n'a pas existé, ou du moins elle n'aurait pas dû exister. Oui c'est du négationnisme et je l'assume !
That 80's Show est un des pires spin-off dans le monde des séries télévisées.
Quand une chaîne décide de produire une série dérivée, l'intérêt est, à mon avis, de proposer quelque chose de différent. Bien entendu, elle peut et elle doit dans une certaine mesure, conserver un lien avec l'univers de la série originelle. Ce lien, elle peut le présenter de différentes manières. J'en ai identifié trois :
- À travers des personnages qui se retrouvent dans la déclinaison. Angel est un bon exemple avec des héros de Buffy contre les Vampires qui ont glissé dans ce nouvel univers : Cordelia ou encore Wesley.
- À travers un univers qui lui est propre. On peut penser au monde post-apocalyptique rempli de zombies de The Walking Dead et Fear The Walking Dead, par exemple.
- À travers une temporalité. Je pense à un spin-off qui propose d'en savoir plus sur l'univers d'une série en présentant une histoire qui se déroule avant ou après la trame initiale. Le précédent exemple avec nos amis les zombies s'y prête bien. On peut encore citer : The Big Bang Theory et Young Sheldon, Battlestar Galactica et Caprica, Classe mannequin et Cœurs Caraïbes, Breaking Bad et Better Call Saul...
Est-ce que tu te rends compte de ce qui vient de se passer ? Je viens quand même de placer Classe Mannequin entre Battlestar Galactica et Breaking Bad, je ne pensais jamais pouvoir le faire, et voilà que je viens de réaliser un rêve...
That 80's Show se retrouve dans le cas de figure de la déclinaison de l'univers. Tout comme sa grande soeur, elle évolue dans un décennie donnée, ici les années 80, de laquelle elle extrait les codes : musique, vêtements, langage, etc. Sur le principe, pourquoi pas, mais quelle est la valeur ajoutée ? La réponse est simple, il n'y en a pas.
La comédie copie-colle tout ce qui a fait le succès de la série de Mark Brazill, Bonnie et Terry Turner, avec beaucoup moins de réussite. Les personnages sont des caricatures des héros de la première série et les blagues ne font pas mouche. Il aurait été bon de prendre un peu de hauteur et de proposer quelque chose de différent tout en gardant ce principe de faire évoluer des individus dans une époque définie. Ce n'était pourtant pas bien compliqué...
En résumé, That 80's Show est faite pour toi si tu aimes les comédies pas drôles, si tu aimes des personnages qui sont des caricatures d'eux-mêmes, si tu aimes le mauvais goût des 80's.
De la série de bonhomme sans cervelle avec The Bastard Executioner
Tu aimes quand un pilot te vend du rêve pour la suite de la série, quand les acteurs ont du charisme, quand les décors ne te font pas saigner les yeux, alors ne regarde pas The Bastard Executioner.
En toute franchise, je n'ai pas pu terminer le visionnage de la saison 1 et les souvenirs que j'en ai sont quasi inexistants. Heureusement Youtube est là et c'est avec grand plaisir que j'ai pu revoir quelques images de la série. Je t'en fais profiter également :
Ça y est, ces images font jaillir des souvenirs... perturbants... désagréables... oui ça y est j'y suis, je me revois sur mon canapé en 2015 face à cette série au scénario écrit sur un dixième d'une feuille A6, face à ce jeu d'acteur inexistant, face au charisme d'une huître séchée au soleil du héros, face à des scènes de batailles peu convaincantes...
Et voilà je me sens à nouveau souillé. Avec The Bastard Executioner, Kurt Sutter n'a pas réussi son pari. Il n'a pas su transposer sa maîtrise sans faille de Sons of Anarchy ici. S'il y a une chose à retenir concernant cette série, il faut l'oublier.
The Bastard Executioner est faite pour toi si tu aimes les décors cheap, si tu aimes les héros bodybuildés sans cervelle, si tu aimes les longueurs narratives.
Du huis-clos avec Containment
Tu aimes quand une fiction à huis clos est bien maîtrisée, quand les personnages ont une réelle importance dans le scénario, quand l'histoire avance, alors ne regarde pas Containment.
Si tu suis ce site depuis quelques temps, tu as déjà eu l'occasion de lire mon avis sur cette série dans mon article 3 série à huis clos à éviter.
En substance, Containment est l'archétype de la mauvaise série à huis clos développée sur un network (ABC, NBC, CBS...) et ce, pour deux raisons :
- À la différence de films (12 hommes en colère, Cube...) ou séries cultes du genre (Le prisonnier, Oz, Meadowlands, etc.), Containment n'a pas su personnifier le lieu de l'action. Or, dans une fiction à huis clos, le lieu a une importance capitale dans l'histoire. Il donne un cadre à l'oeuvre et aux personnage qui évoluent en son sein.
- Des personnages inintéressants. À l'instar de Dale dans Jericho, Containment nous livre une flopée de personnages chiants aux intrigues peu palpitantes. De quoi perdre l'intérêt du téléspectateur...
Je ne détaille pas plus. Si tu veux en savoir plus, prends ton courage à deux mains et lis l'article sur les huis clos.
Containment est faite pour toi si tu aimes les personnages clichés, si tu aimes les intrigues qui avancent au ralenti, si tu aimes les huis clos de networks.
De la camelote avec Camelot
Tu aimes quand les séries d'aventure te font rêver, quand les acteurs et actrices sont crédibles dans leurs rôles, quand la réalisation est de qualité, alors ne regarde pas Camelot.
Tout comme The Bastard Executioner, Camelot ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, si ce n'est la présence de la belle Eva Green.
Jean-Clément : "Elle est trop bonne cette meuf. Vers chez moi y en a pas des comme ça !"
Effectivement cher ami consanguin. À force de batifoler avec vos cousines et frangines, le pedigree perd en qualité.
On ne va pas se mentir, Eva Green est une très belle femme. Outre sa plastique, elle se démarque également par sa qualité de comédienne... ou pas. Il faut dire que je ne la trouve pas très convaincante dans ses rôles. À l'image d'une Marie-Louise Parker (Weeds), elle me paraît mono expressive. Cela ne fait pas d'elle une mauvaise actrice, mais une actrice au jeu peu diversifié. Et dans Camelot, elle nous offre la même interprétation que dans ses autres rôles que ce soit au cinéma ou à la télévision : Penny Dreadful, Miss Peregrine et les enfants particuliers, Dark Shadows ou encore Dumbo.
Pour ce qui est de son personnage dans Camelot, est-elle entièrement fautive ? Je ne pense pas. Il faut dire que ses collègues Jamie Campbell Bower, aka Arthur, et Joseph Fiennes, aka Merlin, officient dans le registre de celui qui sera le moins convaincant. Je repose donc la question : à qui la faute ? À la direction des acteurs peut-être. Oui, J'ACCUSE !
Toute la série sonne faux. Des comédiens et des comédiennes en passant par la réalisation ou encore les décors, cette série est cheap. Le scénario est aussi inexistant que le charisme du personnage d'Arthur. Alors j'ai lu beaucoup de critiques sur le physique de l'acteur Jamie Campbell Bower : soit disant trop maigrichon et pas assez musclé, soit disant trop féminin et pas assez mâle alpha. En substance un mec pas assez viril, Jamie c'est pas un bonhomme quoi !
En toute franchise, je ne sais pas quoi penser de ce genres d'arguments, si arguments il y a. Donc à vous messieurs les phallocrates et autres bipèdes décérébrés, allez ramasser des cailloux sur l'A63. Le problème n'est pas le physique du comédien, mais plutôt son charisme. Jamie Campbell Bower n'a pas les épaules (attention petit macho, je ne parle de largeur d'épaules au sens propre) pour interpréter un personnage aussi symbolique que le roi Arthur. Une simple erreur de casting qui vaut cher à la série.
Pour conclure, Camelot est faite pour toi si tu aimes voir les seins d'Eva Green, si tu aimes des personnages au charisme inexistant, si tu aimes les mauvaises fictions sur la légende du roi Arthur.
De la connasse en mode Selfie
Tu aimes quand une comédie te fait rire, quand les personnages principaux te font rêver, quand l'histoire est un minimum recherchée, alors ne regarde pas Selfie.
Cette série m'a dérangé par deux aspects :
Le premier me confronte à moi-même. J'ai un problème avec cette mode de se prendre en selfie. Le culture du corps et plus généralement du Moi me gène et m'exaspère. Aussi, regarder Selfie a été très difficile. Dès que je voyais le personnage d'Eliza, mon coeur s'emballait, mes pupilles se dilataient et mes naseaux s'écartaient. Non ce n'était pas pour le joli minois de Karen Gillan, mais l'envie fulgurante de lui défoncer la gueule avec sa canne à selfie. en mettant du Aborted à fond dans ses esgourdes. Choix musical pertinent car lors d'un excellent concert que j'ai vu du groupe l'année dernière, Sven de Caluwé, le chanteur, s'exprimait en ces termes au lancement d'une chanson : "Cette chanson est pour toutes les putes à selfie !". Extrait de nos amis métalleux belges :
Fin de la petite histoire. Ah, ça détend quand même, n'est-ce pas ?
Comme tu auras pu le remarquer ce premier aspect négatif de la série est tout à fait personnel et purement... viscéral.
Le second aspect concerne le casting et la scénariste. Je fais délibérément abstraction du côté comique de la série. Tu te doutes bien que si elle apparaît dans cette liste, c'est qu'elle n'a pas su me faire rire. C'est dommage pour une comédie.
Le casting a été ma grande déception. Et c'est pourtant les noms présents dans la série qui m'ont attirés.
Avec Emily Kapnek à sa tête, je m'attendais à du lourd. La créatrice n'en était pas à ses premiers essais et elle a souvent su me plaire. Je l'ai découverte en 2007 dans Aliens in America. Une petite comédie passée quasiment inaperçue sur l'arrivée d'un jeune lycéen musulman dans une famille chrétienne américaine. Un scénario simpliste et pas très neuf, mais qui a été amené avec beaucoup de légèreté et de justesse, avec en prime un casting en or : Dan Byrd (Cougar Town), Adhir Kalyan (Nip/Tuck), Scott Patterson (Gilmore Girls), Lindsey Shaw (Pretty Little Liars, Suburgatory) et Amy Pietz (The Office).
Kapnek a ensuite travaillé sur deux comédies que j'ai adoré : Suburgatory avec l'excellent Jeremy Sisto (Six Feet Under) et Splitting Up Together. Pour cette dernière, là encore deux acteurs que j'adore : Jenna Fischer (The Office) et Oliver Hudson (Rules of Engagement et Dawson).
Outre la présence de Kapnek à la création de ces séries, l'autre dénominateur commun est qu'il s'agit de comédies familiales touchantes, drôles avec des personnages attachants. Selfie n'entre dans aucune de ces catégories. Elle tente de montrer une héroïne esseulée et vulnérable, mais le tout est amené très maladroitement.
Comment ça j'ai perdu le fil ? Oui, c'est vrai que je pourrais écrire un article à part entière sur les comédies d'Emily Kapnek, et c'est une idée.
Donc, revenons-en à nos moutons. Mais tu vas voir que je ne me suis pas tant égaré que ça. Mon argumentation était de montrer que la créatrice a souvent su s'entourer d'un casting de choix. Et pour Selfie, elle a encore fait le maille avec des acteurs et actrices comme Karen Gillan que j'ai adoré dans Dr Who ; John Cho, que la comédie connaît bien avec ses films Harold & Kumar (bon il a quand même joué dans la bouse Flashforward) ; et l'excellent David Harewood (Merlin, Homeland, The Night Manager, Criminal Justice). Sans être le casting de True Detective, ces quelques noms donnent plutôt envie.
Et comme je le disais pour Camelot, on a beau avoir un casting de rêve, si le contenu et/ou la direction ne sont pas présents, la série sera indubitablement râtée.
Ainsi, Selfie est faite pour toi si tu aimes les "influenceuses" sur Instagram, si tu aimes te prendre en photo, si tu aimes le fait que les gens aiment te regarder en photo et que tu t'aimes parce qu'au fond de toi tu sais que c'est normal que les gens aiment te suivre et liker tes photos... t'as pigé ?
Des dinosaures en mousse avec Terra Nova
Tu aimes quand une série parlent des dinosaures, quand le scénario est ultra bien ficellé, quand les acteurs ont du talent (en tout cas bien plus qu'Edouardo en avait dans la musique), alors regarde Terra Nova.
Je vois certains d'entre vous froncer les sourcils. Ne connaissez-vous pas l'artiste auteur/compositeur Edouardo ? C'est pour vous les amis, et ne me remerciez pas :
Terra Nova a subi mon courroux dans la troisième partie de l’abécédaire des séries de merde. Je ne vais pas à nouveau perdre du temps avec cette série. je te laisse lire ce qui en fait pour moi une série de merde. Pour toi qui n'a pas cliqué, voici ce qu'il faut retenir de cette série gâchée :
- À l'instar de ses consoeurs, à savoir séries mystérieuses, Terra Nova s'éparpille sur des histoires annexes chiantes. Elles ne font pas avancer le schmilblick et desservent complètement le scénario.
- Les personnages sont des caricatures et n'ont aucune profondeur. ils sont d'ailleurs interpréter par des comédiennes et des comédiens très peu convaincants.
- Comme je l'ai dis quelques lignes plus haut, où sont ces putains de dinosaures ? On nous vend une série avec des dinosaures, la moindre des choses ce serait d'en voir à chaque épisode !
Tous ces éléments viennent gâcher la série qui pourtant avait du potentiel.
Terra Nova saura éventuellement te plaire, notamment si tu aimes des fictions sur les dinosaures sans dinosaures, si tu aimes les héros en mode je montre mes abdos et j'agis après, si tu aimes les péripéties du jeune Bryan qui a fugué car sa maman l'a privé de dessert... mais on s'en fout de ta vie de merde Bryan, va vendre du muguet dans le jardin de Marc Dutroux petit con !
C'est sur cette note joviale et tout à fait sympathique que j'achève cet article sur 8 séries courtes de merde que je conseille à toutes les personnes que je déteste. Et si ces personnes ne sont pas rassasiées, voici encore 3 petites séries qui valent le détour : Fam, Do not disturb, le remake de Melrose Place. Bon visionnage !