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Tony Bravo mène une double vie. Il est agent à la DEA et un excellent joueur de football. La CIA le recrute alors pour intégrer l'équipe de football des Riot et ainsi surveiller les agissements de son dirigeant Andrés Galan. Galan est un homme intouchable qui semble se servir de sa position au sein des Riot pour mener des affaires illégales...
Informations sur
- Nom original de la série Matador
- Créateur Roberto Orci Andrew Orci Dan Dworkin Jay Beattie
- Dates 2014-2014
- Genre Drame Espionnage
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale El Rey
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 13
- Durée 42 minutes
Jack Bourdain est un célèbre chef cuisinier new yorkais qui a connu de nombreux déboires tout au long de sa carrière. Jack décide de reprendre sa vie en main et d’arrêter drogue, alcool et libertinage. Quatre ans plus tard, alors qu’il a une relation amoureuse stable et un emploi dans une petite pizzeria, Pino Lugeria le contacte et lui offre le poste de chef cuisinier dans un des plus grands restaurants de New York, le Nolita. Jack accepte la proposition et fait appel à ses amis et collègues d’antan. Une nouvelle vie s’offre alors à Jack où tentations et bonne nourriture font bon ménage.
Informations sur
- Nom original de la série Kitchen confidential
- Créateur David Hemingson
- Dates 2005-2005
- Genre Comédie Biopic Cuisine
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale FOX
- Chaîne(s) de diffusion française Série Club, Paris Première
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 13
- Durée 22 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Feed The Beast, 2 Broke Girls, The Bear, Sweetbitter...
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Critique
Kitchen Confidential est basée sur la vie et les déboires du célèbre chef cuisinier new yorkais Anthony Bourdain.
Cette comédie, ancrée dans le milieu de la haute gastronomie, avait tout pour faire parler d’elle. En effet, la série n’hésite pas à rentrer dans le lard des conventions en abordant des thèmes qui, aux yeux d’un quelconque puritain, seraient synonymes d’outrage et d’abus. Sexe, drogue, insanités... rythment le quotidien des personnages qui, malgré ça, font leur métier et de la meilleure manière qui soit.
La série s’est également entourée de stars du petit écran tels que Bradley Cooper, connu pour son rôle de Will dans la série Alias, Nicholas Brandon, Alex dans Buffy contre les vampires, ou encore Bonnie Somerville, connue pour ses rôles dans NYPD Blue et Newport Beach entre autres.
Ces quelques atouts n’ont pourtant pas permis à la série de subsister. Elle a en effet été annulée au cours de sa programmation. Il faut dire que la série était fréquemment coupée par la diffusion d’événements sportifs, chose qui n’a pas aidé les téléspectateurs à entrer complètement dans l’univers de Jack Bourdain.
La série aurait mérité une diffusion complète pour ainsi lui donner sa chance et permettre au public de la juger dans son ensemble.
- Bande originale
En 2005, l’ouragan Katrina frappait la Nouvelle-Orléans offrant aux États-Unis un désastre sans précédent. Deux ans plus tard, la ville connaît encore un très large désordre. La police a subi de nombreuses pertes, les prisons sont pour la plupart détruites offrant ainsi aux criminels une ville à leur portée. Face aux pillages, agressions et autres crimes en tout genre, les habitants ne se sentent pas en sécurité malgré les efforts de quelques irréductibles policiers qui comptent bien ramener l’ordre dans leur ville. La série suit les aventures de Martin Boulet, un officier faisant partie de l’unité spécialisée dans les criminels dangereux, et son nouveau partenaire, Trevor Cobb, un ancien militaire qui cache un terrible secret...
Informations sur
- Nom original de la série K-Ville
- Créateur Jonathan Lisco
- Dates 2007-2007
- Genre Policier Drame
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale FOX
- Chaîne(s) de diffusion française M6, Série Club
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 11
- Durée 42 minutes
-
Critique
Une énième série policière débarque sur le réseau des chaînes américaines en 2007. Y a pas à dire, le genre policier est définitivement un genre qui marche bien et qui plait largement au public. Et pourtant je trouve souvent que les séries se ressemblent trop et ne font qu’emprunter des thèmes récurrents les unes aux autres.
Pour K-Ville, ma première impression fut plutôt bonne. En effet, le pitch de départ est novateur et surtout ose s’aventurer dans un drame sociopolitique qui a bouleversé les américains en 2005. Pas évident de parler d’une tragédie qui a ému des millions de personnes et qui a secoué les classes politiques pour leur non-engagement. La série nous dévoile une Nouvelle-Orléans semblable à une ville fantôme, deux ans après le passage de Katrina. Les images sont assez choquantes et très prenantes quand on découvre la misère et le calvaire que les habitants ont dû vivre. On se rend surtout compte que deux ans après, la ville est abandonnée et que les aides sont des plus rares. De ce point de vue, la série dénonce et c’est une très bonne chose.
Bien entendu, K-Ville ne s’arrête pas à ce constat. C’est avant tout une série policière et comme toutes les séries de ce genre, on suit une unité de police au quotidien. C’est à travers les personnages de Boulet et de Cobb que la ville prend vie. Deux personnages attachants qui se lient rapidement d’amitié. Les intrigues personnelles ou en rapport avec l’unité de police sont pour la plupart intéressantes et il est bien dommage que la série se soit arrêtée en cours car il aurait été appréciable d’en savoir plus sur Cobb qui est un personnage très énigmatique.
Regret est le mot à retenir si on parle de la série. Je regrette vivement que la série ne se soit pas plus ancrée à nous parler de l’âme de la Nouvelle-Orléans au lieu de privilégier des enquêtes pas très novatrices, seul le cadre extérieur change.
Je regrette que la diffusion se soit arrêtée en cours avec un grand vide sur qui est réellement Cobb et sur ce qu’il cherche à faire dans l’unité de Boulet. Seuls 11 épisodes ont été diffusés sur les 13 prévus à l’origine. Il faut préciser que la grève des scénaristes qui sévissaient alors au moment de sa diffusion n’a pas arrangé le cas de la série.
Quelques regrets certes mais une saison agréable à suivre dans son ensemble.
Un jeune garçon est retrouvé mort sur une plage de Gracepoint. Les détectives Ellie Miller et Emmett Carver sont assignés pour enquêter sur ce drame. La famille du garçon ainsi que tous les habitants de Gracepoint se retrouvent dans un tumulte effroyable.
Informations sur
- Nom original de la série Gracepoint
- Créateur Chris Chibnall
- Dates 2014-2014
- Genre Drame Policier
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale FOX
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 10
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Broadchurch, The Killing, Forbrydelsen, Mare of Easttown...
L’une est Présidente du studio Parador Pictures, l’autre est rédactrice en chef du magazine de mode Bonfire, et la dernière est créatrice de mode. Wendy, Nico, et Victory sont des femmes de pouvoir new yorkaises au tempérament de feu. Elles mènent de main de maître leur vie professionnelle à l’emploi du temps souvent bien trop chargé. A côté de cela, les trois amies tentent de gérer au mieux leur vie amicale, familiale et amoureuse qui n’est pas toujours des plus évidentes...
Informations sur
- Nom original de la série Lipstick Jungle
- Créateur DeAnn Heline Eileen Heisler
- Dates 2008-2009
- Genre Drame
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale NBC
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, HD1, June
- Nombre de saison(s) 2
- Nombre d'épisodes 20
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Sex and the city, Cashmere Mafia, The Bold Type...
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Critique
A lire le synopsis de Lipstick Jungle, il est évident de penser à d’autres séries du genre, et notamment à Cashmere mafia qui a été produite la même année. Nous reviendrons sur cette pathétique série par la suite.
Présentement, voyons plutôt le rapprochement qu'il peut être fait avec Sex & the city, et pour cette comparaison, rien d’étonnant ! En effet, Lipstick Jungle, au même titre que Sex & the city, est une adaptation d’un roman de Candace Bushnell. N’ayant pas lu les ouvrages de cette dernière, mon analyse comparative se limitera aux séries.
AU programme : même décor, la ville de New York, un groupe de femmes entre trente et quarante ans, une amitié forte entre ces femmes, l’argent, le travail, le pouvoir, le sexe... bref, on prend les mêmes et on recommence. Pas tout à fait.
Lipstick Jungle diffère de sa grande sœur tout d’abord par son format qui est de 40 minutes au lieu d’à peu près 25 minutes pour Sex & the city, et par la chaîne qui l’a diffusé. Lipstick Jungle était diffusée sur NBC, donc un Network, et Sex & the city sur une chaîne câblée, HBO. Il en résulte qu’il y a forcément une différence dans la façon d’aborder certains thèmes qui resteront tabous sur un quelconque Network. Donc ici, pas de sexe à outrance ou de vulgarité à la volée.
En fait, si on compare bien les deux séries, on se rendra vite compte que les deux shows ne développent pas le même contexte. Là où, sans entrer dans le détail, Sex & the city présentait des femmes célibataires, désirant trouver l’amour ou tout simplement l’amant idéal, Lipstick Jungle aborde plus précisément comment une femme new yorkaise peut mener d’une main de maître à la fois sa vie familiale et sa vie professionnelle. Et dans les deux cas, la tâche n’est pas évidente. Trouver l’amour semblait souvent une bien belle utopie pour Carry, et gérer sa carrière tout en s’occupant de son mari et de ses deux enfants étaient un marathon quotidien pour Wendy. Un contexte certes différent, mais néanmoins un discours similaire !
- - Les femmes ont le pouvoir, cela s’avère très souvent plus difficile que pour les hommes.
- - Elles peuvent mener leur vie avec ou sans eux.
- - Elles sont combatives, courageuses et belles.
La femme moderne à son apogée et qu’on aime voir évoluer dans une aussi magnifique ville que peut l’être New York.
Revenons à présent sur sa consœur, à savoir Cashmere mafia, qui a été développée à peu près au même moment. Vous pouvez vous référer à la critique de la série présente sur le site de la Crypte et choisir laquelle des deux aura votre faveur. Pour la Crypte, il n’y a pas photo, l’écriture de Lipstick Jungle est plus fine, plus recherchée, les actrices bien plus charismatiques et les vies de ces femmes sont autrement plus intéressantes à suivre. Quel plaisir de retrouver réunies Brooke Shields (Susan) et Kim Raver (New York 911).
Malgré ces nombreuses qualités, Lipstick Jungle n’aura pas vraiment su trouver son public. Elle n’est certes pas la série de la décennie, cependant, elle a pu renouveler le genre et surtout donner un peu de fraîcheur à ces séries souvent trop légères et pas véritablement creusées.
Docteur Jonathan Chase : riche, jeune, beau garçon. Un homme à l’avenir des plus brillants et au passé des plus obscurs. Des replis les plus profonds de l'Afrique, aux sommets les plus élevés du Tibet, il est l’héritier du savoir de son père et des sombres mystères de l'univers. Jonathan Chase, le maître des secrets qui ont séparé l'homme de l'animal et l'animal de l'homme : l'homme-animal !
Informations sur
- Nom original de la série Manimal
- Créateur Glen A. Larson Donald R. Boyle
- Dates 1983-1983
- Genre Fantastique Policier
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale NBC
- Chaîne(s) de diffusion française M6, La Cinq, FR3, TF1
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 8
- Durée 42 minutes
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Critique
Il y a des souvenirs d’enfance que l’on souhaiterait garder intacts pour toujours. Pouvoir s’y référer continuellement en ayant en tête quelque chose de positif, de plaisant, quelque chose qui a pu construire notre personnalité et nous affirmer dans la vie. Est-ce qu’une série télévisée a un tel pouvoir ?
Comme toute œuvre créée par l’Homme, qu’elle soit littéraire, cinématographique ou encore tirée d’un mythe, il est tout à fait concevable de valider cette hypothèse. Qui n’a jamais fait de son héros préféré une référence dans sa vie ? Il y a bien des limites à ne pas dépasser et il faut se rappeler que certaines œuvres ne sont que fiction, néanmoins, le pouvoir des références dans toute œuvre écrite ou imaginée par l’Homme ne peut être remis en question.
C’est bien beau, ces élucubrations dignes d’un philosophe de comptoir, mais je sens que tu te demandes où je veux en venir. Alors entrons dans le vif du sujet. Je vais te présenter ma déception lorsque j’ai revu la série Manimal presque 20 ans après mon premier visionnage émerveillé.
Pour cela prenons une petite analogie de l’interaction entre l’homme et l’enfant, l’homme représentant ici notre cher Manimal et l’enfant représentant mon Moi quand j’avais l’âge de regarder des niaiseries à la télévision et de les comprendre à ma propre échelle, c’est-à-dire pas grand-chose !
A cette époque, Manimal était diffusée entre autres sur M6, TF1 et La Cinq, qui nous balançaient les 8 épisodes (et oui il n’y en a que 8 !) de la série en boucle. Je découvrais, certainement en un beau samedi après-midi, cette série énigmatique et son héros mystérieux, Jonathan Chase. Cet homme m’est apparu de suite comme magique, il avait la faculté de se transformer en n’importe quel animal. L’émerveillement que m’offrait la petite lucarne était imposant. Je n’étais pas ce métamorphe et pourtant je me voyais en lui. Le soir en me couchant ou dans mes jeux avec mes bonhommes (GI Joe, l’époque veut ça !) ou dans mes combats imaginaires, je me voyais tel un Jonathan Chase devant une difficulté, me concentrant, respirant profondément par le nez et expirant par la bouche, les yeux clos et là, la magie s’opérait. Le garçon devenait animal et pouvait tel un félin fuir le danger, tel un taureau repousser l’adversaire, tel une souris s’immiscer dans les conversations des parents, tel un aigle voler et découvrir le monde. Bref, un rêve que certainement beaucoup d’entre nous ont pu faire un jour ou l’autre que ce soit grâce à Manimal ou tout simplement grâce à un esprit très imaginatif.
Donc tu l’auras compris, l’homme avait rendu l’enfant admiratif. Mais, c’est bien connu l’enfant finit toujours par être déçu par les adultes. Ces derniers cachent bien leur jeu et sont parfois habités par le mensonge et la tromperie. Et banco ! Telle ne fut pas ma surprise lorsque devenu à mon tour homme et adulte je redécouvrais cette série.
Alors revenons sur ce que j’ai vu d’antan et ce que j’ai pu découvrir quelques années plus tard. À l’époque, je ne faisais pas vraiment attention aux scenarii et quelle erreur ! Ce que j’ai principalement vu, avec mes yeux d’enfant, c’est un homme qui se transforme en animal et fait fuir les méchants pour faire le malin devant la belle et sauver les pauvres gens. Un pouvoir magique, splendide, hors du commun ? Oui et non.
Oui car ça reste toujours extraordinaire de pouvoir se métamorphoser mais quand on regarde la série maintenant, on ne peut que rigoler. Les effets spéciaux ont très mal vieillis et les scènes de mutation sont excessivement longues. Alors quand Chase décide de se changer 3 ou 4 fois dans l’épisode et qu’on perd à chaque fois plusieurs minutes à le voir faire, et souvent pour devenir le même animal, ça fait long et on se lasse. La preuve avec cette compilation :
Et en plus, gamin j’avais l’impression que le scientifique se changeait en une multitude d’animaux... que nenni ! Chase se transforme en panthère, en faucon, en panthère, en dauphin, en panthère, en cheval, en panthère, en serpent, en panthère, en bœuf, en panthère et en ours. Comment ça j’ai répété "panthère" ? Oui et bien vas lui dire à Chase de varier ses transformations car pour ma part il m’a bien gonflé à se faire pousser les moustaches 12 fois par épisode !
Autre point. Gamin je me disais : "il est vraiment trop fort ce Jonathan, il a toujours la classe". Oui et bien un peu trop, car dans la lignée d’un Hulk qui ne craquera jamais, ô grand jamais son pantalon entièrement (à ce sujet, j’en suis sûr que son pénis est minuscule et pas vert !), Chase se transforme, mais ne déchire jamais ses vêtements et une fois sa transformation terminée il se retrouve de nouveau habillé avec ses tenues intactes. Il fallait le dire que Jonathan était intime avec Mandrake le Magicien.
Enfin, dernier point que je n’ai jamais calculé étant petit : les allusions sexuelles.
Mais dites-moi, quel petit coquin ce Jonathan Chase ! Ah la petite Brook en prend pour son grade durant les 8 épisodes qui composent la série. On comprend bien qu’il a un petit faible pour notre Candie version Manimal, mais bon il y a des façons de faire, surtout pour un homme qui se veut être un gentleman. Ces allusions qui auraient pu être drôles et fines sont finalement plutôt lourdes, insipides et à la limite offusquantes pour les femmes. On peut ne pas en tenir rigueur au regard de l’époque, les années 80, et ses nombreux héros machos à moustache, quoique Jonathan n’est pas fourni de poils sub-nasaux.
Pour conclure, tu l'auras compris que l’enfant que j’étais a été fortement déçu en redécouvrant cette œuvre que je trouvais de grande qualité fut un temps. Chacun aura sa propre opinion sur la série et il est certain que beaucoup sauront encore l’apprécier, du moins je l’espère, alors dans ce cas ne prends pas en compte ma critique que tu trouveras indubitablement acerbe et replonge-toi dans l’univers de Manimal.
Frank Black est un ancien agent du FBI, spécialisé dans les crimes sexuels et meurtres en séries. Au cours de sa carrière plus que brillante, une facette de ses talents se développe à l’extrême et il acquiert le don ("sa malédiction") de voir à travers les yeux des tueurs les plus horribles et malsains qui soient. Sa santé mentale en prend un coup et pour protéger sa femme Catherine et sa fille Jordan, ainsi que son esprit, il décide de quitter le FBI dont il était pourtant le meilleur analyste criminel.
Informations sur
- Nom original de la série Millennium
- Créateur Chris Carter
- Dates 1996-1999
- Genre Fantastique Policier
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale FOX
- Chaîne(s) de diffusion française Série Club, France 2, Jimmy
- Nombre de saison(s) 3
- Nombre d'épisodes 67
- Durée 42 minutes
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X-Files, Profiler, Fringe, The Outsider, The Inside...
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Critique
Millennium est une série atypique mélangeant fantastique, horreur, enquêtes policières et mysticisme. Série sombre et savante, Millennium nage dans une ambiance glauque, apocalyptique et mélancolique.
Lancée en grande pompe par la Chaîne Fox, au vu du succès de The X-Files, le succès semblait établi à l’avance. Se permettant même de mettre des bandes annonces dans les salles de cinémas. Or, il n'en fût rien. Certes, le pilote du show explosa des records d'audience (curiosité oblige...), mais la noirceur, la violence, et le pessimisme d'un tel produit repoussèrent bien des spectateurs potentiels des futurs épisodes, autant que des critiques, qui découvraient enfin le produit dont ils vantaient les mérites depuis plusieurs mois, sans en avoir vu la moindre image.
Bien nombreux furent donc ses détracteurs, mais la série reste pourtant une des meilleurs du genre et la seule à être allée aussi loin sur le sujet des crimes violents. Pour les fans du genre, la première saison fût totalement jouissive et remplie d’épisodes marquants où Frank Black se retrouve au milieu de questions sur la nature du Mal, la fin des temps, la dérive de l’humanité dans la violence, le millénarisme, le mysticisme, les rites païens et sataniques, les diverses psychoses, la foi, la vie et la mort.
Cependant, même eux furent assez troublés par les orientations prises ensuite. En effet, Chris Carter à cheval sur ses deux séries, ne pouvant pas être tout le temps là, confia la seconde saison à d’autres mains et notamment Glen Morgan et James Wong qui avaient brillamment travaillé sur The X-Files. Ces deux-là firent donc de cette saison la leur et concentrèrent les intrigues autour du Groupe Millennium lui-même. Ce qui fit passer les crimes et serial-killers au second plan et nombreux sont les fans qui en furent déçus. Chris Carter marqua son retour à la troisième saison en équilibrant les scénarios entre complots et enquêtes mais les dégâts étaient déjà là et l’audience plus au rendez-vous.
La série fût annulée au bout de trois saisons d’excellentes qualités même si d’intérêts différents. Et se termine un an plus tard dans la 7ème saison de The X-Files, lors d’un cross-over, au moment du passage à l’an 2000.
Millennium restera une série unique dans le genre qui a su se démarquer de ses pairs comme Profiler par sa noirceur et la variante des thèmes abordés.
- Bande originale
Annie Walker est une jeune stagiaire à la CIA. Elle est subitement promue et se retrouve sur le terrain. Elle est accompagnée d'Auggie, un jeune technicien aveugle qui l'assiste depuis Langley. La nouvelle vie d'Annie débute entre cacher son travail à ses proches, risquer sa vie au quotidien et croiser le chemin de son ex, Ben, un homme au passé trouble...
Informations sur
- Nom original de la série Covert Affairs
- Créateur Matt Corman
- Dates 2010-2014
- Genre Espionnage
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale USA Network
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, HD1, AB1, TF6
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 76
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Alias, Nikita, Spooks, Burn Notice, 24 heures chrono, Tom Clancy's Jack Ryan...
- Bande originale
Informations sur
- Nom original de la série Happyland
- Créateur Ben Epstein
- Dates 2014-2015
- Genre Comédie
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale MTV
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 8
- Durée 22 minutes
Nina Whitley est une avocate travaillant au sein d'un grand cabinet. Elle a scarifié sa vie privée poendant de nombreuses années pour ce cabinet et n'obtient malheureusement pas la reconnaissance tant attendue. Renvoyée, elle devient avocat commis d'office. Un autre monde s'ouvre alors à elle...
Informations sur
- Nom original de la série Benched
- Créateur Michaela Watkins Damon Jones
- Dates 2014-2014
- Genre Comédie
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale USA Network
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 12
- Durée 22 minutes